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Notes sur le tag : ariane dreyfus

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Dernières notes

Ariane Dreyfus, La bouche de quelqu'un

          La nécessité intérieure     Mon seul livre qui n'aurait pas fini.   Aimer un seul homme, écrire un seul livre Plus de clôture, plus de barrière finale. Les pages avançaient, parfois un plus grand baiser se couchait et ce poème gardait de vraies lèvres Séduite, la poésie devenait femme Qui marchait plus...

Publié le 30/10/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Ariane Dreyfus, La terre voudrait recommencer

          Un recoin dans un coin   On éteint sauf moi Je ne suis pas éteinte Lueur Dès que ma main ne rencontre pas la terre Mais ton dos dégagé   Lueur aussi Le ventre et ta main À la seconde de la mienne   D'enlever les vêtements devant Nous derrière nous serrant Dans les odeurs leur buisson...

Publié le 25/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Ariane Dreyfus, Nous nous attendons (lecture)

   Nous nous attendons ne réunit pas seulement des poèmes, s'y ajoutent deux essais sur la "fabrique" de deux poèmes (présents p. 64 et p. 65), qui permettent de comprendre le sous-titre. La relation à Gérard Schlosser et à ses tableaux figuratifs est introduite dans la page d'ouverture, "Ce qui est arrivé" ; pour Ariane Dreyfus, sa difficulté à regarder des tableaux vient de...

Publié le 10/05/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Ariane Dreyfus, poèmes dans la revue Contre-Allées

                  « Tu voudras bien lui donner ? »   Dans le bol transparent une poignée de cerises Plutôt sombres que rouges, les dernières   Elles ne sont pas prises Sauf si penser à, aimer sans réponse c'est comme manger Le bol est plein d'elles qui sont prêtes Qui disent : « Il faut savoir que...

Publié le 04/02/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Iris, c'est votre bleu d'Ariane Dreyfus

                  Mais Dieu, surtout pas. Ne mettez pas de mots vides dans votre bouche, Hommes, regardez Iris, malgré le mur, Debout C’est votre bleu. Votre ligne, imaginons Une plaie vivement recousue. Votre broderie, sa joie se gonflant, Quelques secondes d’amour par miracle successives. Ici,...

Publié le 01/01/2012 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Ariane Dreyfus, Nous nous attendons

«  Avec plaisir  »   C’est le milieu de la nuit et du lit S’ouvre   La chambre la salle de bains la chambre encore Façon d’y déposer chaque femme qu’elle est   Elle s’essuie entre Un peu seule dans ses cuisses mais pas grave Geste qui restera au fond d’ici Le corps ne va pas se refermer Si vivant   Puis le grand et...

Publié le 07/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Ariane Dreyfus, Les Compagnies silencieuses ; Iris, c'est votre bleu

  Le lendemain du jour       Comme une femme se glisse sous un homme   0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau...

Publié le 09/07/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Iris, c'est votre bleu, d'Ariane Dreyfus

  Je vois le chemin À chaque fois Ligne vive, Magique un doigt le long d’une main, déjà. Justesse De la petite chambre hissant sa seule fenêtre à la montagne. Tu simplifies mon corps en me tirant à toi.   Les yeux font les doux remous, l’étonnement. Nous regardons la mer que le soleil plus bas Fait pâle, elle brille, d’un bleu remué (éclairé)...

Publié le 28/02/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Le lendemain du jour, d'Ariane Dreyfus

Comme une femme se glisse sous un homme Je lis votre écriture   Ou alors c’est moi qui écris couchée La page blanche fait cette lumière où j’oublie de me voir Toujours commencée Il y a un côté où l’encre n’est pas sèche qui mène jusqu’à vous Quand vous me lisez vous le dites Ou jamais Je prends toutes les étoffes selon la chaleur Les morceaux de vie selon Ma bien future mort...

Publié le 13/12/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

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