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Notes sur le tag : tristan tzara
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Evola poète. Il y a 100 ans paraissait ”La parole obscure du paysage”
Evola poète. Il y a 100 ans paraissait La parole obscure du paysage intérieur Fabio S. P. Iacono SOURCE : https://www.destra.it/home/evola-poeta-i-100-anni-de-la-parole-obscure-du-paysage-interieur/ En 1921, le poème La parole obscure du paysage intérieur fut publié en langue française. Des compositions qui étaient censées, dans les intentions de l'auteur, créer...
Publié le 21/07/2022 dans Euro-Synergies par Ratatosk | Lire la suite...
Tristan Tzara, Où boivent les loups
I larmes mères dans la coupe au givre sur le bout des chiffres où il n’y a plus de consolation filles mères aux lèvres de soleil rêves brefs pareils pareilles pour s’en souvenir tel qu’il devint tant qu’il a fallu et ce qu’il en garde le loup Tristan Tzara, Où...
Publié le 22/03/2021 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
LES POÈTES DE MA VIE (10)
TRISTAN TZARA * Homme approximatif comme moi comme toi lecteur et comme les autres Amas de chairs bruyantes et d’échos de conscience Complet dans le seul morceau de volonté ton nom Transportable et assimilable poli par les dociles inflexions des femmes Divers incompris te mouvant dans les à-peu-près du destin Avec un cœur comme valise et une valse en guise de tête Buée sur...
Publié le 27/01/2021 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Tristan Tzara, De nos oiseaux
Cirque, I tu fus aussi étoile l’éléphant sortant de l’affiche voir un œil énorme d’où les rayons se laissent descendre en courbes sur terre qui ne voit que sous la toile la force musculaire est grave et lente sous la lumière bleuâtre nous donne la certitude en certains exemples la précision des gymnastes parfois des...
Publié le 09/10/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
L'HOMME EST APPROXIMATIF
Est-ce ainsi que Pierre Reverdy envisageait ses "Flaques de verre" ? A moins que ce ne soit qu'un grain de café presque transparent. (Murakami Ryu a écrit l'allumé halluciné Bleu presque transparent .) ********************************************************************************** Je n’ai jamais pu me dépêtrer de L’Homme approximatif . Cette œuvre de Tristan Tzara...
Publié le 09/05/2015 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
OMBRES TRÈS CHINOISES
« Chaque ombre à son âme reconnaît la lumière. » Tristan Tzara « L'ombre de cette fleur vermeille Et celle de ces joncs pendants, Paraissent être là dedans Les songes de l'eau qui sommeille. » Tristan L'Hermite
Publié le 18/03/2015 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Tristan Tzara, Où boivent les loups
à l’horizon planent toujours les oraisons de vie en désordre le liège est cerf le cerf est feuille un matin à bijoux une robe de mains palpitantes qui fuient la terre un visage qui se hâte à la nuit les soucis au rivage une lumière qui erre sans se connaître une femme qui l’habite à regret la neige la couvre sur les cimes...
Publié le 14/02/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
UN « CRÉTIN » PARLE AUX « CRÉTINS » (fin)
Finalement, qu’est-ce qui m’oblige à réagir à l’insulte lancée par un éditorial du journal Le Monde à tous ceux qui n’aiment pas qu’on leur fasse prendre la lanterne rouge d’un minable peloton exsangue pour la vessie natatoire d’un superbe esturgeon de quatre-vingts ans bien tassés, bourré de caviar ? Rien. Mais rien du tout. La gratuité de l’effort ainsi produit, si elle...
Publié le 30/10/2014 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
LE LIEVRE DE PATAGONIE 2/4
J’ai eu un peu de mal à suivre le récit des premiers temps, quand Claude et Jacques Lanzmann (le bégayeur qui écrivait des livres pour dire qu'il traversait les déserts à pieds, en espadrilles, accessoirement parolier de Dutronc) sont baladés dans divers lieux au moment de l’invasion allemande et pendant la durée de la guerre : Brioude, Paris, Clermont-Ferrand,...
Publié le 13/08/2014 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Tristan Tzara, Phases, ”Pour Robert Desnos”
Pour Robert Desnos dans le blanc de ma pensée hurle un merle l'herbe chante sur la ville décapitée siffle l'ai subit du sang d'où s'ébranle l'arbre mûr mendiant de lumière mademoiselle voulez-vous et la mort montre sa montre des dents vides au bracelet et les os de mille témoins mademoiselle...
Publié le 24/05/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
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