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Notes sur le tag : rohmer
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C'était mieux avant... (Été 1984)
Après juin , vient la torpeur estivale. Mais même un plein cagnard, il nous faut remplir notre mission consistant à revenir sur les sorties en salles françaises de Juillet-Août 1984 : A cette époque-là, le spectateur n'était pas spécialement à la fête pendant les deux mois les plus chauds de l'année, les distributeurs se gardant bien de lâcher leurs plus alléchants poulains avant la...
Publié le 03/07/2009 dans Nightswimming par Edouard S. | Lire la suite...
Les nuits de la pleine lune & Le rayon vert
(Eric Rohmer / France / 1984 & 1986) ■■■□ / ■■■□ " Qui a deux femmes perd son âme, qui a deux maisons perd sa raison ". Voilà le sous-titre du quatième film de la série des Comédies et proverbes d'Eric Rohmer. Quatre chapitres égrennent autant de mois, de novembre à février, le premier posant on ne peut plus clairement la situation (qui, comme souvent dans la série, ne colle...
Publié le 06/02/2009 dans Nightswimming par Edouard S. | Lire la suite...
Êtes-vous Rohmerien(ne) ?
Le résultat n'était pas forcément attendu : le réalisateur le plus cité au terme de la récente consultation lancée par Ludovic Maubreuil sur son blog Cinématique , en rapport avec ce qu'il reste du cinéma français de ces vingt dernières années, est Eric Rohmer. Rohmerien, je le suis assez, pour ma part, même si il a fallu un peu de temps pour que je le devienne. Si l'on n'a...
Publié le 06/10/2008 dans Nightswimming par Edouard S. | Lire la suite...
Triple agent
(Eric Rohmer / France / 2004) ■■■□ Un film d'espionnage par Eric Rohmer. Il y aura donc très peu de gunfights. Comme à son habitude, Rohmer filme essentiellement des conversations. Il n'est affaire que de parole : de son usage, de sa portée, de ses fondements. Et ce principe rohmérien est soutenu ici par un contexte historique si fort et des événements narratifs...
Publié le 02/11/2007 dans Nightswimming par Edouard S. | Lire la suite...
La Révolution française vue par Rohmer
L'Anglaise et le duc est un film à deux voix, un film dialectique sur la Révolution. On y trouve, comme dans toute bonne dialectique, une thèse, une antithèse et une synthèse. Cette dernière fait pencher le film du côté de la contre-révolution, mais d'une manière habile, élégante, impressionniste, c'est-à-dire à la manière de Rohmer. Car Rohmer est moraliste, et l'impressionnisme est en art...
Publié le 07/12/2005 dans Le Uhlan par Le Uhlan | Lire la suite...
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