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Notes sur le tag : poésie
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Dernières notes
Je suis couché
Je suis couché, ver de terre Du creux des ténèbres montait une voix La nuit fermait sa main étoilée Sur les pierres sales et les fous Tu riais. J’écoutais le chant de la terre Cœur, un rond de douceur chaude La flamme du désir S’élève dans la houle de nos corps Centaure aux bras d’étau Vaste plaine L’œil des juges prend les paupières baissées Sur l’eau noire aux...
Publié le 05/02/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Temps présent
Demain sera toujours un autre jour… Comment voir encore les jeunes filles Deviser et rire dans les rues de Paris Alors que la vie déroule son tapis Sur les bosses du désaccord Fuyez, mes amis, entre les pavés Que vous avez longuement foulés Perdez-vous dans les montagnes obscures Ou noyez-vous dans la froideur de l’océan Mais surtout ne restez pas sur le passage Des...
Publié le 02/02/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
2020 : OUI, DES POÈMES, ENCORE....
... si la vie veut bien ! *** (Le lieu attend qu’on s’en aille Pour se remettre à chuchoter. Je suis de trop, se dit le désespoir. Presque rien en notre possession, Répond la voix du noble corps. Reste le reste.) *** Avec janvier prend fin le temps des vœux de Nouvel An.
Publié le 31/01/2020 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
T. S. Eliot lecteur de Cœur des ténèbres de Joseph Conrad
Crédits photographiques : Charlie Riedel (Associated Press). «Abruti par tous ces soleils noirs de la littérature, j’ai essayé il y a quelques instants de retrouver un peu mon équilibre entre le oui et le non, de remettre la main sur une raison d’écrire.» Enrique Vila-Matas, Bartleby et compagnie . La Critique française elle non plus n’a pas d’estomac Au-delà de la multitude...
Publié le 30/01/2020 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...
2020 : QUELQUES POÈMES, ENCORE ?
Je te cherche et tu ne fuis pas. J’ai la terre et le temps présent. Je suis galet qui sent la vase tiède. Je suis cadran de montre au milieu de l’esprit. Et dans la trace de ton cœur je me perds. Il me reste les poissons-chats, L’opacité de l’eau, le confluent maladroit, Les meubles de l’oubli. T'ai-je trouvée, ma seule ?
Publié le 30/01/2020 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Eolien
Une éternité mais le mouvement est là et nargue l'instant © Loup Francart
Publié le 28/01/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
La librairie
C’était une librairie où l’on vendait du rêve. On y trouvait toute la poésie du monde depuis Homère jusqu’à Jaccottet, Sans oublier Neruda, Pavese et Pessoa. Il suffisait d’ouvrir un livre pour que les mots s’envolent aussitôt. Il n’y avait plus qu’à les attraper avec un filet à papillons, Les regrouper en strophes, et les fourrer dans un sac Sous l’œil ironique et tendre de...
Publié le 27/01/2020 dans Marche romane par Feuilly | Lire la suite...
Esclavage
Les hommes, comme d’éternels esclaves Entraînent chaque jour la roue du passé Ne connaissant d’elle que ce point de tangence Qui imprègne dans le sol l’instant de sa présence Derrière ne restent que les traces du regret du passé Et au-devant l’espoir du futur dans un jardin sauvage © Loup Francart ( (écrit en janvier 1968)
Publié le 25/01/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Carnet / Une grosse pierre
Quelle drôle d’idée ton texte sur une grosse pierre ! m’a dit récemment une amie lectrice de mes Poèmes du bois de chauffage . Il s’agit d’un poème minimaliste que je qualifierais plus volontiers de récit. Je l’ai écrit parce que je vis quelque chose de particulier avec cette grosse pierre depuis que je l’ai sortie de la terre du jardin au prix d’un pénible effort car elle gênait pour...
Publié le 25/01/2020 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
buvard
Mad'moisell' ! Mad'moiselle ! Il pleut, mais ce n'est rien qu'un chemin qui ruisselle en votre cheveu brun Z'alliez où, mad'moiselle ? Accepter mon invite ce soir, au dais si bel et plein de points de fuite ? Mademoiselle, allons d'un même pas maudire et le triste félon et le sinistre sire Et l'autre damoiseau qui vous arrache un pleur et vous navre le dos quand si belle est cette...
Publié le 24/01/2020 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
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