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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Ni ni

Dieu, d'accord... mais d'un œil et pas dans mon cercueil je n'en désire aucun   Nu, sous l'amas de feuilles,   c'est bien D'un œil, oui... mais qui passe   rougi de guerre lasse avant de pointer l'autre et son brillant cortège d'apôtres Qui passe sans rien dire Non ! sans rien commenter des ceci et cela qui firent la journée  - du Sinn ?    Pas sûr......

Publié le 10/10/2010 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

70 raisons de péter en public - Nicolas Ancion

péteur, euse. N. (1380; de péter). Rare. Personne qui a l'habitude de laisser échapper des vents. Le Petit Robert   Parce qu'il fait beau Parce qu'il pleut Parce qu'il y a du soleil entre nos dents Pétons en marchant Parce qu'il bruine Parce qu'il neige Parce qu'un grand vent couvre les tout petits Pétons à l'envi Parce que le ciel est bleu Parce que le siècle est vieux...

Publié le 09/10/2010 dans Poste restante par Nicolas Ancion | Lire la suite...

pourvoir

La paume retournée, le champ fertile Vestiges de forêt, un archipel de bosquets sous le vent, infatigablement Les ruines d'un moulin que les ronces ménagent où le pays va ranger ses légendes et les oiseaux nicher leurs maigres dividendes avant de comploter à l'angle une évasion au nez glacé des prochaines saisons     C'est bien, fort bien     Certainement sain,...

Publié le 09/10/2010 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Les oiseaux de passage

Sables d'Olonne, par Sara Un poème de Jean Richepin , sur la domesticité et la liberté. On peut l'écouter chanté par Georges Brassens.  On peut aussi lire Le chien et le loup , de Jean de La Fontaine, qui évoque le même thème.  Les oiseaux de passage C'est une cour carrée et qui n'a rien d'étrange : Sur les flancs, l'écurie et l'étable au toit bas ; Ici près,...

Publié le 08/10/2010 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

Le Poème du jour...

  SALON MEUBLE   Dans le jour très sombre - de cette nuance spécialement sinistre que laissent filtrer par une après-midi d'août torride les persiennes rabattues sur une chambre mortuaire - sur les murs peints de cet enduit translucide, visqueux pour l'oeil et au toucher dur comme le verre, qui tapisse les cavernes à stalactites, une légère écharpe d'eau sans bruit, comme sur...

Publié le 08/10/2010 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Le dernier vers du dernier poème

  À l’article de la Vie     La rubrique « Escapades » de ce blogue s’arrête de temps à autre sur des écrivains qui n’ont en principe rien à faire ici : ni Bataves, ni Flamands de Belgique, ni Flamands de France, ni flamingants – rien de tout ça. Cette fois, il va être question – ô sacrilège ! – d’un Wallon. Poète presqu’oublié, auteur de...

Publié le 08/10/2010 dans flandres-hol... par daniel cunin | Lire la suite...

Le temps des origines

  Illustration *MEL* Blog de nuit , à laquelle je dédie cette petite poésie.   C'était au temps des origines C'était au temps des androgynes Tu étais Elle et j'étais Il Tu étais Il et j'étais Elle Et nous n'avions qu'un coeur pour deux.   C'était au temps de l'oeuf cosmique C'était au temps du vase unique Et maintenant  oh mon amour J'attends tellement le...

Publié le 07/10/2010 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Hommage à Verhaeren

    Francis Vielé-Griffin sur « le Grand Flamand »     Mais je suis né, là-bas, dans les brumes de Flandre, En un petit village où des murs goudronnés Abritent des marins pauvres mais obstinés, Sous des cieux d’ouragan, de fumée et de cendre.     Émile Verhaeren, « Épilogue », Toute la...

Publié le 07/10/2010 dans flandres-hol... par daniel cunin | Lire la suite...

PAG en fascicules

Pierre Autin-Grenier, Le poète pisse dans son violon , Éditions Les Carnets du Desset de Lune, collection Dessert, 2004.   « Comment prendre au sérieux un pessimiste à l’accent provençal ? ». Réponse possible : en appréciant la vélocité avec laquelle il résume une vie humaine : « Tricycle ! Mobylette ! Mercédès ! Corbillard !...

Publié le 06/10/2010 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

Démultiplicateur de progrès

On sait que la couleur n’est qu’une illusion d’optique. Que chaque couleur n’est qu’un amalgame d’intensités et de fréquences lumineuses captées par la fovéa et recomposées par le cerveau. On a beau se dire que la plupart des surfaces absorbent certaines longueurs d’ondes et ne réfléchissent que les autres, l’impression spontanée de couleurs posées vraiment là, sur chaque forme, cependant,...

Publié le 05/10/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

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