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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

NOUVELLE ANNEE

Une année toute neuve Une année qui s'ouvre Et nous nous sentons légers Notre coeur se sent neuf De voir son sourire clair Nous nous sentons rajeunir Une belle route s'ouvre Et nous marchons Confiants et heureux Vers l'horizon qui apparaît Clair devant nous.  

Publié le 03/01/2017 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Chemins de traverse - 503 / Andrée Chedid

Andrée Chedid   Ma vie, ma blanche vie au revers des images. Ma vie, mon éprise, ma claire, mon emportée; Comme une eau dans l’heure certaine, Son vertige par coeur. Ma vie, ma dénudée, mon âpre, mon impatiente, Brûle, brûle l’aile de soie; Brûle les peurs, les mailles, le noeud des barques, Le fiel, l’encens, l’herbe desséchée. Ma vie, ma...

Publié le 03/01/2017 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

Voyager, pour le poète

  Voyager, c’est sortir de l’habitude : Recherche du dépouillement par le déplacement. Le poète sait voyager sans bouger. Il est maître de l’espace.   ©  Loup Francart  

Publié le 02/01/2017 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

91 recueils et anthologies personnelles publiés ou republiés en 2016

    Max ALHAU, Si loin qu’on aille , éd. L’Herbe qui tremble, 2016, 120 p.   Jacques ANCET, L’âge du fragment , éd. Aencrages & Co (Baume-les-Dames, Doubs), 2016, 74 p.   Marie-Claire BANCQUART, Traité du vivant , éd. Arfuyen, 2016, 88 p.   Marie-Claire BANCQUART, Qui vient de loin , éd. du Castor astral (Bègles, Gironde), 2016, 104 p....

Publié le 01/01/2017 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

Au revoir à l'une, salut à l'autre*

Quelque chose la hèle, la halète.  Elle est cette danseuse qui s'élance et déploie les bras, prend ses aises, à deux doigts de flamboyer, perd les bras et devient flamboiement,  Elle part de là, le corps en insurrection. Charline Lambert Tiens, 2016 Nous y voilà : une année de plus. Autant 2015 fut très romanesque , autant 2016 fut éclectique - ce qui n'est pas...

Publié le 31/12/2016 dans La petite... par Estrella Oscura | Lire la suite...

Se voir

Écrire pour se voir et non pour se montrer, c’est le début de mon crédo en poésie. (Luc Bérimont, poète)   Jaillissant du cœur, la poésie tombe en pluie Et lessive la mémoire de ses odeurs de suie Elle envahie l’homme jusqu’à le faire femme Et l’emmener au plus profond de l’âme Alors, dressé sur la pointe des pieds Il reconnaît sa déshérence et cherche un équipier   Il...

Publié le 31/12/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chemins de traverse - 46 / Maurice Chappaz

Maurice Chappaz Je voudrais que les baisers remplacent les chants d'oiseaux. Qu'ils pépient dès l'aube sur tes joues, tes paupières. Je voudrais que la nuit remplace le jour, que la prière remplace le travail, que le silence remplace les paroles. Je voudrais que l'éternité remplace cette vie ne serait-ce qu'un instant. Maurice Chappaz, Tendres...

Publié le 31/12/2016 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

Inutile Narcisse

Jan Davidsz de Heem       « On ne doit être estimé heureux que lorsqu’on a fini sa vie dans une douce prospérité. Il faudrait qu’un tel bonheur me fût entièrement assuré pour me donner une pleine confiance. » Disait, retour d’Ilion, l’Agamemnon d’Eschyle, trente-sept minutes avant de se faire débiter vivant, à la hache, dans sa baignoire, par sa femme...

Publié le 30/12/2016 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Situation poétique

Vivre avec un poète n’est pas une chose aisée, Car on sait que toute situation est observée. Qu’elle soit ordinaire, drôle ou insolite, Elle est bonne à devenir objet de poésie. Cela germe dans la tête du poète subitement Et la litanie des vers sans fin se dévide. D’où sortent-ils ? Nul ne le sait. Ils montent dans la gorge en foule, Se heurtent au portail de la parole, Se...

Publié le 30/12/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chemins de traverse - 502 / Jules Supervielle

Jules Supervielle Je vous vois aller et venir sur le tremblement de la Terre Comme aux premiers jours du monde, mais grande est la différence. Mon oeuvre n'est plus en moi, je vous l'ai toute donnée. Hommes, mes bien-aimés, je ne puis rien dans vos malheurs, Je n'ai pu que vous donner votre courage et les larmes, C'est la preuve chaleureuse de...

Publié le 30/12/2016 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

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