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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

JUSTE ELLE

On la disait Un peu sauvage Dans son jeune âge Elle aimait l'anglais Douce, mais aussi Mal dégrossie Un peu têtue Disait sa mère De sa voix pointue Comme une vipère Rarement jalouse Elle avait le blues Quand son Portugais  Un grand dadais La négligeait Elle allait draguer Elle vacillait Et s'ennuyait Toute sa jeunesse Elle le confesse La rendait cafardeuse Comme l'eau...

Publié le 04/10/2017 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Le poids

D’un geste grandiloquent, en un tour de passe-passe Il engouffra le monde et même l’univers Dans ce sac de plastique bariolé et froissé Dont  la pauvreté se charge au sortir d’un supermarché Et il partit, le nez au vent, dans l’ombre La poussière et le bruit, avec pour seul bagage Le contenu de son cerveau, c’est-à-dire rien Il pesait lourd ce sac de rien Mais il...

Publié le 04/10/2017 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

A corps et à cris

En lisant Demeure le corps de Philippe Rahmy, décédé ce 1er octobre 2017 à l'âge de 52 ans. Certains livres nous lisent plus que nous les lisons, ils nous ouvrent au couteau et nous fouaillent le derme et les viscères et le cœur et l’âme ou ce qu’on appelle l’âme, qui est dans le corps la part du corps qui chante encore ou pleure quand il n’est plus qu’une plaie sous un...

Publié le 02/10/2017 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

LA PETITE RUE SILENCIEUSE (Paul Fort)

Ce poème me rappelle mon enfance, ma petite soeur l'avait appris et avait dessiné la petite rue sur la page de gauche de son cahier de récitations. LA PETITE RUE SILENCIEUSE Le silence orageux ronronne. Il ne passera donc personne ? Les pavés comptent les géraniums. Les géraniums comptent les pavés. Rêve, jeune fille, à ta croisée. Les petits pois sont écossés. Ils...

Publié le 28/09/2017 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Georges Bataille, William Blake, La Littérature et le mal

                                          L’enseignement de Blake se fonde ( …) sur la valeur en soi — extérieure au moi — de la poésie. " Le Génie Poétique, dit un texte significatif 1 , est l’Homme véritable, et le corps, ou la forme extérieure de l’homme, dérive du Génie...

Publié le 28/09/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Classe d'eau

        Du bleu d’en haut il suffit de se laisser glisser le long des filins pour tomber juste au seuil de la classe d’eau, sur le promontoire dominant les fosses du Haut Lac, à la profondeur inspiratrice par temps clair autant que sous les neiges moites de décembre. Votre arrivée est attendue dans le silence de l’aube que trouble à peine le passage des...

Publié le 26/09/2017 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Train à grande vitesse

  Elle est la passagère d'un train qui va de plus en plus vite dans le paysage de la vie vers une destination inconnue. Fascination, curiosité. Le temps est précieux, les mots pleins sont  difficiles à extraire car enfouis profondément dans les strates de l'habitude. Parfois vient le besoin de se saouler de diversions pour oublier l'extérieur que la vitesse brouille....

Publié le 25/09/2017 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

ECRITURE

Quand la lumière en vient à l'écriture, ... ... ce n'est pas la photo qui est floue, ... ... c'est un ailleurs qui rend visite.

Publié le 25/09/2017 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

ample heure (et consolation)

de tiniak  à Gaëna Armchair & Tristesse (illustration d' une connivence ) A vance, en ton simple appareil me délivrer une caresse aimante et fragile, Tristesse plus fraternelle qu’un soleil M ets entre mes mains ta rondeur je vais l’accorder à ma couche que, l’instant d’après, j’en abouche le petit lait, le fruit, la fleur P erce mon flanc d’un doigt plus sûr de se...

Publié le 24/09/2017 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (208)

"Au temps du lycée, elle n'aurait jamais cru possible d'aimer deux personnes à la fois, mais elle savait désormais que ça l'était. Et la triste vérité était que la possession émousse le désir, tandis que l'amant inaccessible chatoie à la lisière de l'esprit comme une étoile brillante, fichée dans le cœur, tel un éclat de cristal." Jay McINERNEY Les jours enfuis

Publié le 24/09/2017 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

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