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Notes sur le tag : poésie
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Dernières notes
Gustave FLAUBERT et POÉSIE
Ces mêmes gens qui disent "poésie des lacs" etc., détestent fort toute cette poésie, toute espèce de nature, toute espèce de lac, si ce n’est leur pot de chambre qu’ils prennent pour un océan. Gustave FLAUBERT , Correspondance, cité par Paol KEINEG dans l'article ci-dessous*. * "ci-dessous", pour un blog, est l'exact synonyme de "ci-dessus", pour un...
Publié le 06/03/2018 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
Bats-toi !!
M es lèvres s'animaient sur des hanches fragiles en jouant du saxo dans un harmonica et puis, ceci, celà, et d'autres tralalas... elle est venue, tout droit, vers mon rire imbécile O ui, l'heure était magique et le port endormi la marée fénéante (ou bien c'était pus tard ?) Je lui ai pris la main; elle apprit mon regard sur le pavé de Nantes où s'affairait la nuit N il nove sub sole !...
Publié le 06/03/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 3/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE III Où suspendre l'abandon ? Le vase olivâtre et vain ? Il est lucide. Il a quelqu’un sur la chair (il dit à vif), c'est la vive à tendresse. Le comédien se fait servir. Il se sert. Il consiste à flotter. L'enfant consiste en soif. Reconstitué, posé moineau, il fait le fil de lame. Il joue à l'abandon....
Publié le 06/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 2/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE II Pour y monter, passer par l’infirmité. Mais pour trouver la mère, détacher une à une les ventouses. Brûler sa propre cendre. Le ventre céramique a vernissé la cicatrice. L’objet de l’art, c’est la vie-vite. Il reste en doute, mais c’est ouvert. Il reste en sursaut le corps de la...
Publié le 05/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Patrick Dubost en lecture à la médiathèque d’Oyonnax
Auteur d’une vingtaine de livres de poésie et habitué des lectures en scène, Patrick Dubost est l’invité de la médiathèque municipale d’Oyonnax au centre culturel Aragon vendredi 29 mars 2018 à 20h (entrée libre en fonction des places disponibles). Il propose, dans le cadre du printemps des poètes, une lecture poétique intitulée Manisfeste pour habiter la lune. Premier plan :...
Publié le 05/03/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Les ”Rythmes” d’Andrée Chedid
Chaque année, le Printemps des Poètes décerne le "Prix Andrée Chedid du Poème chanté" dont ce sera la 10ème édition. Pour fêter cet anniversaire, une sélection de textes met à l'honneur les mots d'Andrée Chedid. Avec trois poèmes de Rythmes qui sont proposés à l’occasion de la publication de ce recueil dans la collection Poésie /Gallimard. La préface est signée de Jean-Pierre Siméon....
Publié le 04/03/2018 dans Le Blog de... par Louis-Paul | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 1/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE I Je ne suis pas poète. J'avais pourtant donné quelques courts extraits d'un ouvrage que, faute de mieux, j'avais appelé "poétique". Cet ouvrage, achevé en 2003, était le distillat d'une épreuve morale qui a creusé en moi des ravines et labouré le champ de ce que j'étais pour y semer un grain que j'ignorais alors. Enracinée dans la mort de quelqu'un,...
Publié le 04/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Concision 77
Sur le sable allongés La tête dans les nuages Mains unies côte à côte.
Publié le 03/03/2018 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...
Dédoublement
Il est quatre heures du matin, une heure humaine… Je rentre en moi-même, ne sachant où je vais… Soudain, un bouton déclenche le dédoublement Comme si l’aile d’un oiseau l’avait enfoncé… La vue se dédouble, comme une brisure Je louche dans mon être et me sens bien Je prends de la distance et me regarde Je sens la fragilité de mon enveloppe corporelle Comme une membrane...
Publié le 02/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Le sang, l'épine et le filet
A las, poor Yorick!... L a soupe de poisson, épaisse dans mes veines emporte mon combat - cette vieille chanson ! pour une oreille amie, face à combien d'Abscons ?... quels que furent les temps que mes larmes soutiennent avec l'obstination, épineuse aux débords de la prise au filet, certaine de sa mort mais vive et s'agitant et plaidant sa rengaine A la caresse amie comme aux pesantes...
Publié le 27/02/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
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