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Notes sur le tag : poésie
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Dernières notes
Je m'invite, ce soir, à la table de dieu...
J e m'invite, ce soir, à la table de dieu le cheveu éléctrique et l'âme labourée sans foi, salamalecs ni carton véhipé pour lui dire mon fait et lui cracher mon feu E lle est belle, sa table ! Elle ferait envie à ma meilleure amie, ma pensée douce et tendre... En repartant d'ici, j'aurai de quoi répandre mon opportun butin sur de bien frêles vies R igole, mon mignon ! Triste vendeur...
Publié le 16/03/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
APRES L'ORAGE
Le temps fait Ce qui lui plait Jours de pluie Jours de soleil Les paysages Ne sont pas pareils Après l'orage Plus de bruit La nature se remet Et fait des projets. (le 17.09.16)
Publié le 11/03/2018 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
L’œil
L’œil est le fond de l’âme, On y admire la pointe de l’humain. Il peut être un soleil chaleureux, Une lune chafouine, une étoile scintillante, Ou même un trou noir aspirant les regards… De braise, certains le portent, De jais, il roucoule tendrement, Noisette, il sort des bois, croquant, Vairon, l’âme boite dans son logement. C’est le monde vu de l’œil-de-bœuf. Seul, l’œil...
Publié le 10/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
SI TU AIMES LA PLUIE
Si tu aimes la pluie Alors tu aimes Mars Tout au fond de ton puits Tu crois à une farce Des pluies abondantes Et la peur te hante De voir tant de flaques Tu deviens patraque Les nuages cèdent Le soleil remède Te couvre de bonté Finie l'austérité.
Publié le 09/03/2018 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 6/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE VI Avec le moi d’ici, en remettant le temps d’avant qui se déchire, je t’ai refait le déroulé, le temps d’avoir du sens, comme un sas de vent avant soi la cassure. Tout mon secret, la rue d’après, le venin vite, tout le support, ça fait confort. Le noir de corps frappe au décor. La...
Publié le 09/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 5/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE V Le corps du vide, à bout de traces, ça résonne. Il y en a qui nage, et la citerne efforce. Avoir été celui, c'est un dépôt sous l'écorce. Dans le regard à la coque, on a du fort qui passe. Pas de sable avec pierre, aucun recours dans le jour d'os. On sait qu'on marche, et...
Publié le 08/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Septième poème du bois de chauffage
En mauvaise lune J’ai pensé que mon bois avait été coupé en mauvaise lune En y songeant dans la voiture j’étais mal luné J’ai aboyé contre un bénévole fluorescent qui bloquait la circulation à cause d’une course cycliste vous n’aviez qu’à partir plus tôt m’a-t-il répondu en m’expliquant par où je devais passer pour faire un détour de vingt kilomètres...
Publié le 08/03/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 4/7
LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE IV Le comédien, en corps d’enfant, meurt à la plume, acculé à l’hilarité. Le prédateur attend, dans son lieu sûr, le bout du compte. En retenu, en succédé, le devenu de l'infraction comprend le legs avec son dépôt nul. C'est un oiseau d'hilarité qui se tient devant le vide. Sous l'aile, avec...
Publié le 07/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
La chambre de Lautréamont d'Edith et Corcal
Tu es poète et tu étouffes la poésie. Une pondeuse, Bretagne ! T'es plus qu'une vieille poule qui chie de l'intrigue à la demande pour faire jouir le bourgeois. tu t'embourgeoises toi-même. Ta pensée s'assèche. Tu bouffes du cliché et tu prends du bide. Regarde-toi... Auguste Bretagne est un écrivaillon de feuilletons sanglants dans les années 1870 . Il écume les revues avec...
Publié le 07/03/2018 dans La petite... par Estrella Oscura | Lire la suite...
Sable
Les sables sont le plus souvent mouvants La confiance n’est pas de mise avec eux Qu’un papillon passe, la tempête se produit Vous étiez au sommet et vous voici à terre Les vents sont contraires, vous dit-on Le Sahara apporte les fantômes d’une nuit Une neige jaune et gluante recouvre cet été La campagne habituée au blanc hivernal Chaque grain de sable n’est rien Qu’un pet...
Publié le 07/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
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