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Notes sur le tag : nouvelle

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Dernières notes

Illusion

                  … et puis il y a eu ce moment, à ma grande surprise, où tout cela n’a plus eu la moindre importance. La paix vient brutalement. Ce qui m’avait tenu presque vingt ans, vingt ans de colère, d’effondrement et d’espérance, ne pesait tout à coup plus rien ou un sourire. Une passion s’évanouissait et pour une...

Publié le 21/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Le déceveur

                  Il l’avait séduite par sa manière de ne jamais dire rien qui parût prévisible, et d’être drôle – c’est banal ; mais dès après qu’ils eurent passé une nuit ensemble, simplement par des phrases qui demandaient la réciproque, elle avait commencé de vouloir qu’il dise ce qu’elle...

Publié le 21/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Un dur

                  « Je ne suis pas en état que quiconque puisse me manquer », se mentait-il, faisant d’une phrase sa dope d’un soir. Cela libérait l’énergie, plaçait tout ce qu’il faisait sous le signe du faux, du mensonge ; du monde. Et puis les femmes… Parfois, à bout de nerfs, de force,...

Publié le 21/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Jusqu’à la lie

Walter Vogt, La toux . Nouvelles traduites de l’allemand par François Conod, Bernard Campiche Éditeur, 2010 La nouvelle qui inaugure le recueil et lui offre son titre donne le ton de l’ensemble : humour noir, traitement par l’absurde de l’existence humaine, satire sociale (la médecine, tout particulièrement, en prend pour son grade). Fondées sur une expérience lucide et sans...

Publié le 18/10/2010 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

Plaisanterie

  Œil pour œil et double langage pour double langage, en quelle langue va-t-il falloir le dire ? – Mon cher, dit le vieux, il y a tout de même un certain nombre de cas, que la loi ne prévoit pas, où l’attaque est légitime, et mourir dans son bon droit pas toujours bien ni juste. J’ai souri. « – Evidemment, je ne tiendrais pas les mêmes propos à un jeune homme qui...

Publié le 11/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Un peu d'amour (complaisance & narcissisme)

        Tiens, vous n’avez qu’à vous dire que c’est une fiction ou n’importe quoi d’autre. On est mercredi et je suis debout depuis lundi matin. Je suis à la fois en pleine forme et d’une humeur de chiottes, et l’un par l’autre je crois bien. Je n’ai même jamais bu aussi peu de café. C’est un moment formidable : les gens ne comprennent pas...

Publié le 06/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

PAG en fascicules

Pierre Autin-Grenier, Le poète pisse dans son violon , Éditions Les Carnets du Desset de Lune, collection Dessert, 2004.   « Comment prendre au sérieux un pessimiste à l’accent provençal ? ». Réponse possible : en appréciant la vélocité avec laquelle il résume une vie humaine : « Tricycle ! Mobylette ! Mercédès ! Corbillard !...

Publié le 06/10/2010 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

La nuit ne communique pas avec le jour. Elle y brûle.

Toujours le même principe : à partir de la première phrase (ou ici des trois premières) d'un roman, écrire une nouvelle. " La nuit ne communique pas avec le jour. Elle y brûle. On la porte au bucher à l'aube.", Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants, Mathias Enard. La nuit ne communique pas avec le jour. Elle y brûle. On la porte au bûcher à l’aube. Et tous les spectres qui...

Publié le 04/10/2010 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Croisées [Nouvelle, texte intégral]

Croisées est le nom de ma première nouvelle, écrite il y a quelques années, sélectionnée dans le cadre de Quais du Polar . Je l'aime bien: elle m'a permis de prendre conscience de ce que cette forme qu'est la nouvelle pouvait apporter dans mon rythme et mon style d'écriture, dans la satisfaction que j'en tire également. Un déclic essentiel. Vous marchez dans la rue, la nuit. Il...

Publié le 03/10/2010 dans L'oeil crie par màsp | Lire la suite...

Purgatoire

      Son actualité n’était plus faite par les journaux, les informations ; rien ne se dirait jamais là, même leur fin. Etrangement, elle n’était pas non plus faite par ce qu’il avait à faire chaque jour devant lui, et qu’en définitive il faisait avec une facilité relative. Et non plus, elle n’était pas faite par ce qu’il pensait, sa vie intérieure, ces...

Publié le 01/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

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