Les notes sur le Tag nouvelle : blog hautetfort

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Le soleil brillait toujours sur les deux files de voitures abandonnées

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman (l’incipit), écrire une nouvelle. « Le soleil brillait toujours sur les deux files de voitures abandonnées, qui à perte de vue, flanquaient les deux côtés de la rue. », Week-end à Zuydcoote , Robert Merle . Le soleil brillait toujours sur les deux files de voitures abandonnées, qui à perte de vue,...

Publié le 15/11/2010 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Le jogging

- Dis donc chéri, il y a longtemps que tu n’as pas mis ton costume gris, il ne te plaît plus ? - Si, si ! - Bah! alors …? Surtout qu’il te va bien, tu fais vraiment sérieux et cossu quand tu le portes. Sors-le, tu le...

Publié le 14/11/2010 dans Corboland78 par Le Corbeau 78 | Lire la suite...

Béer

Il trouvait paisible cet état de n’espérer plus rien, espérait son maintien, comprenait sa dissolution, réprimait un rire.

Publié le 09/11/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

A l'arrêt

Il se sentait tiré entre tant de directions, qu’il avait toutes commencé d’emprunter, qu’il se demandait avec une complaisance de cochon si son esprit pourrait résister à ces écartements-là – pourtant les siens. Puis il riait, seul.

Publié le 03/11/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

La Dauphine et le Baby-foot

C’était le dernier achat de Jean-Paul. Il n’avait pas encore reçu sa feuille de route, mais il n’avait évidemment aucun doute sur l’imminence de l’Appel. En cette année 1959, la tournure des événements sentait le rouss i, pour reprendre l’expression de son père, et Jean-Paul, comme tous les amis de sa classe, ne se berçait pas d’illusions. Pour tous ceux...

Publié le 30/10/2010 dans GOUTTES D'O par GOUTTES D'EAU | Lire la suite...

Rite conjuratoire

Ce que c’est que l’amitié, tout de même. – Tu sais que tu ne peux pas faire ça. Il y a des conséquences. Tu n’as pas peur ou tu ne te rends pas compte ? Ou les deux ? Ça t’embêterait qu’on te tombe dessus pour ça mais au fond, tu n’en as encore plus rien à foutre que ça ne t’embêtera. C’est seulement quand les emmerdes seront maousses, quand il sera trop tard quoi, que tu...

Publié le 30/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

L'OUTIL: Chapitre 10

Epilogue . "Suis je le gardien de mon frére ?" Je n’aurais jamais du descendre l’outil rouillé et le laisser dans la fraîcheur azalée. J’aurais du m’en tenir à la poésie alimentaire de mon panier à champignons. Ce qui est fait est fait, mais moi le vacancier, l’étranger qui n’a pas son nom au cimetière, J’ai l’impression d’avoir soulevé contre moi tout le clan...

Publié le 27/10/2010 dans La face... par Fernand Louis Olbec | Lire la suite...

Fermer la porte

Au café, à la table voisine. Ils ont une petite trentaine. Elle fait l’air d’être amoureuse et pointe son doigt. ELLE. – Mais elle, tu as eu une relation avec elle ? LUI. – Une relation, c’est ce qui se relate. Donc : non. ELLE. – Hein ? Mais… oui ou non ?...

Publié le 26/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

L'OUTIL: Chapitres 1 a 9 dans l'ordre :Une nouvelle pour les vacances

l’outil de Louis Fernand Olbec ""l'éternel dit à Caîn,où est ton frére Abel ? Il répondit je ne sais pas,suis je le gardien de mon frére ?" Genése ch.4/9. En allant aux champignons . . . C’est un outil de bûcheron, j’ai oublié son nom. Disons un pic. Il est assez lourd et doit servir, il me semble, à faire glisser les bois. Mais que fait...

Publié le 23/10/2010 dans La face... par Fernand Louis Olbec | Lire la suite...

Perspective

C’est étonnant comme une phrase de la plus banale facture, glissée au milieu d’une abondante conversation, et à laquelle sur le moment vous n’aviez pas plus que ça prêté attention, peut revenir quelques jours plus tard vous habiter, détachée de son contexte initial, soudainement en résonnance avec...

Publié le 21/10/2010 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

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