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Notes sur le tag : munch
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Dernières notes
Edvard Munch
Soeur Inger Le baiser Nu parisien L'enfant malade Le...
Publié le 27/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - XI - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux
Moonlight , Munch Voyelles A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché,...
Publié le 26/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - X - Heureux comme avec une femme
Nuit étoilée , Munch Sensation Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la...
Publié le 25/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - IX - L'étoile a pleuré rose
Weeping nude , Munch L'étoile a pleuré rose L'étoile a pleuré rose au coeur de tes oreilles, L'infini roulé blanc de ta nuque à tes reins ; La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles Et l'Homme saigné noir à ton flanc souverain. Le vampire , Munch Pour plus de poësie d'Arthur Rimbaud :...
Publié le 24/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - VIII - Ithyphalliques et pioupiesques
The lonely ones , Munch Le coeur volé Mon triste coeur bave à la poupe, Mon coeur couvert de caporal : Ils y lancent des jets de soupe, Mon triste coeur bave à la poupe : Sous les quolibets de la troupe Qui pousse un rire général, Mon triste coeur bave à la poupe, Mon coeur couvert de caporal ! Separation , Munch Ithyphalliques et pioupiesques...
Publié le 23/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - VII - Les assis
Mélancolie , Munch Les assis Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues Vertes, leurs doigts boulus crispés à leurs fémurs, Le sinciput plaqué de hargnosités vagues Comme les floraisons lépreuses des vieux murs ; Ils ont greffé dans des amours épileptiques Leur fantasque ossature aux grands squelettes noirs De leurs chaises ; leurs pieds aux barreaux...
Publié le 22/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - VI - Nous chierons dans vos ventres de grès
Autoportrait à la cigarette , Munch L'homme juste Le Juste restait droit sur ses hanches solides : Un rayon lui dorait l'épaule ; des sueurs Me prirent : " Tu veux voir rutiler les bolides ? Et, debout, écouter bourdonner les flueurs D'astres lactés, et les essaims d'astéroïdes ? " Par des farces de nuit ton front est épié, Ô juste ! Il faut gagner un toit....
Publié le 20/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - V - Un hydrolat lacrymal lave les cieux vert-chou
La puberté , Munch Mes petites amoureuses Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou Sous l'arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères, Mes laiderons ! Nous nous aimions à cette époque, Bleu laideron ! On mangeait des oeufs à la coque Et du mouron ! Cendre , Munch...
Publié le 19/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - IV - On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Kiss by the window, Munch Roman I On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. - Un beau soir, foin des bocks et de la limonade, Des cafés tapageurs aux lustres éclatants ! - On va sous les tilleuls verts de la promenade. Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin ! L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ; Le vent chargé de bruits - la ville...
Publié le 18/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
Rimbaud - III - Se détruira-t-elle comme les fleurs feues...
Madonne , Munch Est-elle almée ? Est-elle almée ?... aux premières heures bleues Se détruira-t-elle comme les fleurs feues... Devant la splendide étendue où l'on sente Souffler la ville énormément florissante ! C'est trop beau ! c'est trop beau ! mais c'est nécessaire - Pour la Pêcheuse et la chanson du Corsaire, Et aussi puisque les derniers masques crurent...
Publié le 17/07/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...
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