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Notes sur le tag : mort
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JE DENONCE 29
Je dénonce les Hommes Qui préfèrent réfuter La proximité Plus que résiduelle avec la mort, Plutôt qu'une contiguïté ressentie Comme perspective essentielle Inscrite en chaque aplomb De l'instant à venir.
Publié le 21/03/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...
Au passage...
André Dubuffet, Mur aux inscriptions , 1945 Nous n'avons plus qu'un lointain rapport avec le monde des morts (sinon télévisuels et/ou cinématographiques), avec cette mortalité qui nous habite et dont nous voudrions nier la réalité : l'existence du passager et la vie du putrescible... Nous désirons qu'en ce domaine triomphe l'abstrait... Or, dans la plein été lucquois,...
Publié le 17/03/2013 dans off-shore par nauher | Lire la suite...
Né un 16 mars, dans les Ardennes
“ Je suis mort parce que je n’ai pas le désir, Je n’ai pas le désir parce que je crois posséder, Je crois posséder parce que je n’essaye pas de donner, Essayant de donner, on voit qu’on n’a rien, Voyant qu’on n’a rien, on essaye de se donner, Essayant de se donner, on voit qu’on n’est rien, Voyant...
Publié le 16/03/2013 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...
Quand l'homme est à genoux c'est qu'il n'y a plus de génie (Lamartine - 5ème jour)
Et le voilà qui tombe à genoux, et se met à hurler : Peuple ! des crimes de tes pères Le Ciel punissant tes enfants, De châtiments héréditaires Accablera leurs descendants !* N'ayant droit, pour toute réponse, qu'à un silence de mort, il insiste : Sortez, ô mânes de nos pères, Sortez de la nuit du trépas ! Venez contempler votre ouvrage ! Venez partager de cet âge...
Publié le 15/03/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Jean Paulhan, Le clair et l'obscur
Je me suis trouvé en Quatorze, un jour d'avances et de reculs, coincé, entre quelques morts et mourants, dans une maison à demi démolie, sur laquelle s'obstinait pourtant le tir de l'artillerie — de plus d'une artillerie, car la maison, se trouvant à égale distinction des deux lignes et bien en vue, ne servait pas moins de cible à nos canons qu'aux canons adverses....
Publié le 15/03/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Mur mûr
Un héros bernanosien me parle : « J’ai le souffle un peu court dans les côtes. Un sens heureux de ma faiblesse intellectuelle m’a toujours apaisé et fortifié, comme un signe ineffable de la présence de dieu. Jamais rien désiré de plus que je ce que je pouvais atteindre et toujours pourtant, le moment venu, l’effort moins grand que je n’aurais imaginé, comme...
Publié le 04/03/2013 dans Fodio par Fodio | Lire la suite...
William Cliff, Marcher au charbon
Londres Sur un trottoir de cette ville on l'a trouvé étendu mort j'ignore encor s'il faisait froid dehors quand il s'est résigné à se laisser crever j'ignore aussi ce qu'a duré son a- gonie si le remords a tra- versé son âme au moment du trépas (c'était un beau garçon intelligent sentimental un des plus fins...
Publié le 27/02/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Incroyable ! On meurt à la guerre...
Nous reproduisons ci-dessous un bon point de vue de Jean-Dominique Merchet , cueilli sur Marianne et consacré à la perception de la guerre par les médias français... Incroyable ! On meurt à la guerre... « La guerre se durcit. Un soldat français tué au Mali ». Ces mots font peur à lire. Peur parce qu’ils sont le titre d’un journal sérieux, en l’occurrence...
Publié le 23/02/2013 dans Métapo infos par Zed | Lire la suite...
ANTON ET LES RABAT-JOIE
Anton et les rabat-joie A lbum de Ole KÖNNECKE Traduit de l’allemand par Florence Seyvos Éd. Kaléidoscope, janvier 2013 – 12,20€ Greta, Nina et Lukas n’ont pas le temps de s’intéresser à Anton, ni même à ses propositions de goûters. Ils sont en plein jardinage et ne lui prêtent aucune attention. Anton, vexé, s’éloigne en criant : « Je m’en vais et je ne reviendrai...
Publié le 22/02/2013 dans Librairie... par comptines | Lire la suite...
Plage de Manaccora, 16 h 30, Philippe Jaenada
Depuis Le chameau sauvage , Philippe Jaenada est resté fidèle à son style : l'ascenseur émotionnel. Une chose est sûre, on pleure beaucoup en le lisant, à parts égales entre le fou rire et la tragédie. Il faudra rajouter dans cet ouvrage le rire nerveux. La tension dramatique est en effet ici à son comble. Il s'agit ici d'une course contre la montre, contre la mort,...
Publié le 18/02/2013 dans Fais-moi les... par NLG | Lire la suite...
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