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Notes sur le tag : gracq

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Dernières notes

JG, 27/07/10 - 22/12/07

J'aborderai les rivages du sujet à mon retour de la montagne et des côtes du Pays basque espagnol; dans quelques jours. Trop important. 

Publié le 01/01/2008 dans KallyVasco par KALLYVASCO | Lire la suite...

Gracq et la fiction

Pourquoi Gracq s’est-il arrêté d’écrire de la fiction dans les années 1970 ? À peu près au même moment que Simenon… Pourquoi ?  Pierre Michon évoque ici Julien Gracq

Publié le 31/12/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Gracq, tel qu'en lui-même l'éternité le change.

Gracq, paradoxe d’un homme qui a refusé le Goncourt mais qui a accepté de rentrer dans la Pléiade de son vivant. Ou qui n’a pas daigné être édité en collection de poche, mais qui jouit tout de même d’un grand prestige. Qui s’est montré très réservé envers la modernité et la culture de masse mais qui a vu, cependant, certains de ses livres portés à l’écran. Compagnon de route d’André Breton, on...

Publié le 23/12/2007 dans Marche romane par Feuilly | Lire la suite...

Le Roi Cophetua

En écho à Quignard (lire plus bas) : Je restai éveillé auprès d'elle assez longtemps. Le sommeil d'une femme qu'on regarde intensément conjure autour d'elle une innocence, une sécurité presque démente : il m'a toujours paru inconcevable de s'abandonner ainsi les yeux fermés à des yeux ouverts. Julien Gracq, Le Roi Cophetua , in La Presqu'île (José Corti)

Publié le 12/10/2007 dans KallyVasco par KALLYVASCO | Lire la suite...

Gracq, toujours

Une lettre de lui, ce matin. Un plaisir, toujours. Rare. Compté, désormais. 22 ans déjà que je collectionne ses lettres.  L'écriture tremble davantage (97, 5 ans). J'ai peur. Une vraie peur.  

Publié le 09/10/2007 dans KallyVasco par KALLYVASCO | Lire la suite...

De la consécration littéraire

Dans ses Carnets du grand chemin , déjà cités, Julien Gracq fait remarquer que la seule consécration littéraire qui ait quelque valeur à ses yeux, doit être le fait d’un écrivain réputé. Les critiques comme les lecteurs avisés ne le convainquent pas. Pourtant il reconnaît que les propos tenus par ceux-ci comme par ceux-là sont souvent profonds et non dénués d’intérêt. Mais il n’y a rien à...

Publié le 08/06/2007 dans Marche romane par Feuilly | Lire la suite...

Gracq, again...

Le Magazine Littéraire de juin offre un long entretien avec le plus grand écrivain français vivant. Avec "le dernier classique vivant". Cet homme que j'ai l'immense chance de voir de temps à autre chez lui à St-Florent-le-Vieil, en bord de Loire. L'entretien (avec Dominique Rabourdin) est lumineux. J'y ai retrouvé certaines confidences faites dans le salon de sa maison où il reçoit. Un...

Publié le 29/05/2007 dans KallyVasco par KALLYVASCO | Lire la suite...

Carnets du grand chemin

Dans ses Carnets du grand chemin , Julien Gracq nous invite à un voyage à travers les paysages qu’il a traversés. En une page, il parvient chaque fois à révéler l’âme d’une région, avec un sens aigu de l’intuition. Négligeant les habitations et les hommes qui les occupent, il s‘attarde essentiellement sur l’aspect géographique, passant de la sécheresse des Causses à la baie de Somme avec une...

Publié le 29/05/2007 dans Marche romane par Feuilly | Lire la suite...

Il y a un rappel de l'Italie

"Saint-Flour : il y a un rappel de l'Italie dans la manière qu'a la ville de coiffer de ses tours la colline abrupte, dans le dessin spacieux de son esplanade, dans la belle pierre noire de ses hôtels aux cours herbeuses, qui sont ceux d'une ancienne petite cité princière de l'Apennin ou des Abruzzes ; mais dès qu'on quitte le sommet du plateau - sa cathédrale, son évêché, ses lourds bâtiments...

Publié le 03/09/2006 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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