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Notes sur le tag : gildas pasquet

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Dernières notes

Je vis un moment de temps pur

Je vis un moment de temps pur, je sens autour de moi les ramifications du monde, ses ondes nerveuses, toute cette énergie. La capter, la traduire, la rendre ! La plus grande beauté est éphémère, et pourtant permanente. J’ai trouvé l’angle, l’arme fatale, pour déjouer le complot : le temps ! Quitter celui de la consommation, de la culpabilité, de la haine, du ressentiment. Le...

Publié le 21/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le perpétuel devenir des sentiments

« Nous tendons instinctivement à solidifier nos impressions, pour les exprimer par le langage. De là vient que nous confondons le sentiment même, qui est dans un perpétuel devenir, avec son objet extérieur permanent, et surtout le mot qui exprime cet objet. » Henri Bergson Photo : Gildas Pasquet

Publié le 10/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ne crains pas...

"Ne crains pas", dit l'Histoire, levant un jour son masque de violence - et de sa main levée elle fait ce geste concilant de la Divinité asiatique au plus fort de sa danse destructrice. "Ne crains pas, ni ne doute - car le doute est stérile et la crainte est servile. Ecoute plutôt ce battement rythmique que ma main haute imprime, novatrice, à la grande phrase humaine en voie toujours...

Publié le 07/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le coeur de l'homme

« Le bon Dieu, tu vois, ni les sept étages du ciel ni les sept étages de la terre ne peuvent le contenir. Mais le cœur de l'homme le contient. Alors prends garde, Alexis, de ne jamais blesser le cœur d'un homme. » Nikos Katantzakis Photo : Gildas Pasquet 

Publié le 04/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les rapports qui seuls l'intéressent

"Il arrive souvent qu'à partir d'un certain âge, l'œil d'un grand chercheur trouve partout les éléments nécessaires à établir les rapports qui seuls l'intéressent. Comme ces ouvriers ou ces joueurs qui ne font pas d'embarras et se contentent de ce qui leur tombe sous la main, ils pourraient dire de n'importe quoi : cela fera l'affaire." : Marcel Proust. Photo : Gildas Pasquet

Publié le 01/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les hommes vont de multiples chemins

« Les hommes vont de multiples chemins. Celui qui les suit et qui les compare verra naître des figures qui semblent appartenir à une grande écriture chiffrée qu’il entrevoit partout : sur les ailes, la coquille des œufs, dans les nuages, dans la neige, dans les cristaux et dans la conformation des roches, sur les eaux qui se prennent en glace, au-dedans et au-dehors des montagnes,...

Publié le 29/02/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Chute

"Le pavé était glissant, la nuit tomba" Ponson du Terrail Photo : Gildas Pasquet  

Publié le 20/02/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Est-ce qu'on tue le Remords

Partir. Comme il y a des hommes-hyènes et des hommes- panthères, je serais un homme-juif un homme-cafre un homme-hindou-de-Calcutta un homme-de-Harlem-qui-ne-vote-pas l'homme-famine, l'homme-insulte, l'homme-torture on pouvait à n'importe quel moment le saisir le rouer de coups, le tuer - parfaitement le tuer - sans avoir de compte à rendre à personne sans avoir d'excuses à...

Publié le 14/02/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Un inédit de Pierre Autin-Grenier : Forces spéciales

Extrait de son prochain livre : « C’est tous les jours comme ça (Les dernières notes d’Anthelme Bonnard) » Vrai, ça n’en finit plus. Depuis hier après-midi, sur le coup des cinq heures à ce qu’il me semble, trois unités des forces spéciales se sont rendues maître de la place et, en un tournemain, ont passé la camisole à tout le quartier sans ménagement aucun. C’est donc la deuxième...

Publié le 05/02/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le duc, le duc !

Vous ouvrez son énorme livre n’importe où, et vous êtes emporté, subjugué, soumis à un véritable électrochoc. La comédie humaine a beau changer de costumes, c’est toujours la même chose, en beaucoup plus vulgaire, évidemment. On voit mal Louis XIV dire brusquement à ses ministres : « Attention, mon histoire avec la Maintenon, c’est du sérieux. » Comme il a eu raison,...

Publié le 04/02/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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