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Notes sur le tag : fernando pessoa
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Dernières notes
Revue Instinct nomade : Fernando Pessoa. Couverture et sommaire
Le numéro 5 de la revue Instinct nomade consacré à Fernando Pessoa est bouclé ! Voici la couverture complète et le sommaire intégral. Voici le lien vers le s ite pour plus d'infos : https://germesdebarbarie.weebly.com/ Sur 276 pages, le dossier Pessoa en mobilise 216. La sortie des presses est imminente mais les commandes ne pourront pas être honorées avant la mi-mai. Pour ceux...
Publié le 03/05/2020 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
La vie nous lance en l'air comme des cailloux
La file à la porte de la boulangerie s'étend sur une vingtaine mètres. L'attente va être longue, d'autant qu'il est indiqué : une personne à la fois. C'est là que je prends mon millefeuille du dimanche, alors pas question d'aller ailleurs. À la différence de la semaine dernière, les gens se parlent, tout en gardant leurs distances. On entend: on est si peu de chose, la terre se venge, il...
Publié le 18/04/2020 dans Geneviève... par Elle et Lui | Lire la suite...
Des mots sirènes
Les mots affluent en cataracte à la radio et sur nos écrans. Nous les buvons à pleines gorgées et ils n’étanchent pas nos soifs. Me revient une phrase de "La rage de vivre" de Milton Mezz Mezzrow et Bernard Wolfe (1). Une phrase qui détonne, sortie de son contexte. Les auteurs ont un avis tranché sur la parole. " À quoi bon perdre son temps à discuter, bon dieu !...
Publié le 30/03/2020 dans Geneviève... par Elle et Lui | Lire la suite...
Carnet / « Lisbonne, Pessoa et ses ombres » dans la revue Instinct nomade
Je viens de livrer ma contribution au prochain numéro de la revue Instinct nomade (éditions Germes de barbarie) consacré cette fois à Pessoa. J’ai choisi la forme d’un carnet de lecture et de voyage pour évoquer le poète aux hétéronymes, l’homme qui a plusieurs ombres, sur fond d’une promenade à Lisbonne, la dernière capitale littéraire européenne où j’ai déjà séjourné à...
Publié le 03/03/2020 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Les deux pôles de la décadence selon Fernando Pessoa
« Les décadences sont aussi bien la stagnation où s’enterre une société ultraconservatrice que l’anarchie où sombre une société ultraprogressive. (1er mai 1919). » - Fernando Pessoa - Pour qui serait curieux de lire les développements dans ces pages écrites il y a cent ans, c'est extrait de Chronique de la vie qui passe , éditions de la différence, page 319 du premier tome de...
Publié le 19/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
La PHILOSOPHIE selon Fernando PESSOA
Et cet homme qui, un bref instant, voit l'univers tout nu, énonce alors une philosophie, ou chante une religion ; et on écoute la philosophie, la religion retentit ; et ceux qui croient à cette philosophie en viennent à l'utiliser comme un vêtement qu'ils ne voient même plus, et ceux qui croient en cette religion en viennent à la porter comme un masque oublié bientôt. ...
Publié le 24/04/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
Fernando PESSOA et l'INUTILE
Pourquoi l'art est-il beau ? Parce qu'il est inutile. Pourquoi la vie est-elle si laide ? Parce qu'elle est un tissu de buts, de desseins et d'intentions. Tous ses chemins sont tracés pour aller d'un point à un autre. Je donnerais beaucoup pour un chemin conduisant d'un lieu d'où personne ne vient, vers un lieu où personne ne va. Que j'aimerais consacrer ma vie à la construction...
Publié le 20/04/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
L'ART selon Fernando PESSOA
L'art consiste à faire éprouver aux autres ce que nous éprouvons, à les libérer d'eux-mêmes, en leur proposant notre personnalité comme libération particulière. Fernando PESSOA , Le livre de l'intranquillité, Trad. Fr.Laye, Bourgois, 1999
Publié le 01/04/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
GRAND selon Fernando PESSOA
... parce que son village est tout petit, on peut voir davantage de l'univers que depuis la ville ; c'est en quoi le village est plus grand que la ville : "Parce que j'ai la dimension de ce que je vois, Et non pas celle de ma taille." Fernando PESSOA , Le livre de l'intranquillité, Trad. Fr.Laye, Bourgois, 1999
Publié le 25/03/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
La LIBERTÉ selon Fernando PESSOA
Dans le poulailler qu'il ne quittera que pour mourir, le coq chante des hymnes à la liberté parce qu'on lui a donné deux perchoirs. Fernando PESSOA , Le livre de l'intranquillité, Trad. Fr.Laye, Bourgois, 1999
Publié le 21/03/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
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