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Notes sur le tag : ecriture

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Dernières notes

C'était l'hiver et il faisait nuit

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle.   Jean-Patrick Manchette, La position du tireur couché : "C’était l'hiver et il faisait nuit".     C’était l’hiver et il faisait nuit. Une nuit sale, moche et grise. Une nuit où j’aurais préféré rester dans mon lit, la tête à peine surnageant des couvertures en laine,...

Publié le 16/07/2007 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

”Le net est l'oeil qui regarde la cour...”

Pour en savoir plus et replacer cette phrase de Daniel Carton (ancien journaliste de la Voix du Nord, du Monde et de l'Obs) dans son contexte, cliquez sur : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=26094

Publié le 07/07/2007 dans Denis Vinckier par Denis VINCKIER - Centriste | Lire la suite...

C'était un plaisir tout particulier de voir les choses rongées par les flammes, de les voir se...

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle.   Ray Bradbury, Fahrenheit 451 : "C’était un plaisir tout particulier de voir les choses rongées par les flammes, de les voir se calciner et changer". C’était un plaisir tout particulier de voir les choses rongées par les flammes, de les voir se calciner et changer. Ce sentiment, je ne...

Publié le 27/06/2007 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

L'IDEAL

La femme idéale, pour l'homme, est une colombe qui a les qualités de la fourmi et l'homme idéal pour la femme, est un lion avec la patience de l'agneau. (auteur inconnu)

Publié le 25/06/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Le verbe lire ne supporte pas l'impératif

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle.   Daniel pennac, Comme un roman : "Le verbe lire ne supporte pas l'impératif".   Le verbe lire ne supporte pas l’impératif. Elle avait beau nous le répéter « Lisez !», « Mais lisez donc ! Que diable !». Son martèlement pédagogique, ses intimidations d’un autre âge n’y faisaient...

Publié le 24/06/2007 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

LES DIMANCHES

Chaque samedi après midi, maman prépare le dessert du dimanche. Ses tartes aux prunes embaument la maison. Je vois le jus des fruits faire de gros bouillons au milieu de la pâte. Quand elle sort la tarte du four, je cours vers elle et je me régale déjà. Je respire très fort en fermant les yeux et je regrette de devoir attendre jusqu'à demain. Quelquefois, je l'aide à faire la crème Moka....

Publié le 18/06/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

La balle de 22 fit un petit trou dans la toile

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle.   Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid, Laissez bronzer les cadavres ! : "La balle de 22 fit un petit trou dans la toile".      La balle de 22 fit un petit trou dans la toile. Imperceptible de loin. Pareil à la gentillesse sur un visage.    ...

Publié le 13/06/2007 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

EN CHEMIN

Je vais chez ma grand-mère, je regarde les vitrines des magasins et les différents commerces qui se succèdent dans la rue principale. Après avoir traversé le pont du canal, le "Bar de la Marine" peint en bleu foncé accueille les jeunes lycéens qui se détendent autour d'un verre ou les ouvriers de la céramique à la sortie de leur travail. Un magasin de disques et de matériel...

Publié le 05/06/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

DEUX MUSICIENNES

Dans notre chambre, ma soeur et moi, nous nous retrouvons quelquefois pour nous détendre. Et pour soulager notre maman. Ma soeur me dit de prendre ma flûte et mon livre de solfège. Elle fait de même. Par chance, nous avons le même livre car nous fréquentons le même collège et avons de ce fait le même professeur de solfège. Nous choisissons un morceau à deux voix. Elle me demande de jouer la...

Publié le 28/05/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

L'ECLUSE

Au bout du boulevard s'étend le canal où je regarde passer les péniches qui s'en vont traverser le pays. Elles transportent leur matériel à livrer. Je dois tourner vers la droite pour accéder au pont qui enjambe le canal. La maison de l'éclusier est entourée de toutes ces manivelles qui servent à faire fonctionner l'écluse. Quand je passe près d'elle, j'aperçois de temps en temps cet homme...

Publié le 23/05/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

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