Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : critique

Tags relatifs

Dernières notes

Une question d'honneur

Une question d’honneur est le onzième roman de Donna Leon, de la série des enquêtes du Commissaire Brunetti. Tous ont pour cadre Venise. De part sa topographie si particulière, la Sérénissime est moins sujette au crime que les autres villes, il n'est pas simple de s'échapper a priori de l’entrelacs des ruelles et des canaux ; n'y vivent plus que cinquante ou soixante mille...

Publié le 03/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Rentrée littéraire

Il y a quelques années, les journalistes et les écrivains (sic) ont inventé un nouveau sous-genre prétendument littéraire : l’autofiction, laquelle consiste, apparemment, en une espèce de journal intime plus ou moins sommairement romancé – disons, avec une idée du roman tellement basse, ou tellement contemporaine, qu’elle n’existait certainement pas avant 1950, même...

Publié le 26/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Un sommet

      Le seul moyen d’exécuter la « pièce » eût été de l’applaudir. Mais si le public eût été capable de ceci, Gustave Flaubert ne l’eût pas écrite.   Villiers de L’Isle-Adam, critique du Candidat de Flaubert

Publié le 25/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Bain à Bulles a un an ! Joyeux anniversaire !

Et voilà, le temps passe : les enfants grandissent, les albums de BD qu'on lisait sans y faire attention quand on était gamin se revendent à prix d'or ou sont réédités (tiens, chez Dupuis, ils sortent l'intégrale de Johan et Pirlouit et un coffret avec les albums des Schtroumpfs dans la collection Carrousel, le petit format horizontal qu'on trouvait dans toutes les bibliothèques de famille...

Publié le 18/09/2008 dans Poste restante par Nicolas Ancion | Lire la suite...

Progrès technique (2)

  Je conclus brièvement de le note intitulée Progrès technique que la didascalie est une invention liée au développement de l’imprimerie et permettant au théâtre d’être enfin lisible ; de devenir livre. Corollairement, les tenants de la modernité, ou merdonité, depuis trente ou quarante ans, qui ont transformé le « texte » de théâtre en saloperie...

Publié le 17/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Si Jeff Koons m'était compté...

– Jeff Koons à Versailles ? – Bien sûr. Et la performance publique de Rocco Siffredi à l’Elysée, c’est pour quand ?   (Pas d’illustration aujourd’hui.)   Sérieusement. Une interview de Jean-Jacques Aillagon , ex-Ministre de la Culture (sic) , dans le Figaro, se termine ainsi : Figaro. – Et si Koons à Versailles fait...

Publié le 15/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Un an

Question. – En un an, que vous a apporté de tenir ce blog ? Réponse. – Des lecteurs que je ne connais pas. Parmi lesquels, quelques « amis », qui se déclarent ; et aussi quelques « ennemis », qui ne se déclarent généralement pas, mais dont certains, courageusement, manœuvrent en coulisses. Et, cerise sur le gâteau, dans mon entourage proche,...

Publié le 11/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Et à la fin, la fin en boucle...

  D’abord, par un louable souci d’égalité, l’Europe moderne a voulu sacrer ce qui était profane. Et pourquoi pas ? Mais il a fallu aussi, très vite, comme pour marquer le coup d’envoi de cette égalisation, profaner ce qui était sacré. Et à la fin, c’est l’action même de profaner qui est sacrée, et tout y passe, incessamment. L’égalité ne se connaît qu’un devoir :...

Publié le 10/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Le Voyageur au-dessus de la mer de nuages de Françoise Renaud, par Hervé Pijac

Ce roman — dont le titre judicieux est tiré de l’œuvre éponyme du peintre Caspar David Friedrich — nous invite dans une quête sensible de l’absolu au travers d’un retour, parfois douloureux, sur soi-même. Il ne s’agit pas d’une autobiographie, pourtant, comme dans toute son œuvre, Françoise Renaud dévoile quelques pans de ses racines et la maîtrise de son émotivité est l’apanage des...

Publié le 06/09/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Vivement la mort (clausule)

Parler concrètement de ce monde-ci, aujourd’hui, me tombe des mains (si je puis dire, mais après tout, j’écris). Son pathétique me gagne, me perd, et l’inutilité envahit tout, décourage et dégoûte. C’est vain. Mais c’était vain hier et avant-hier. Cette vanité ne serait-elle pas encore une forme de l’orgueil ? (Imaginons. Vous êtes facteur de masques et livrez à quelques comédiens les...

Publié le 04/09/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Page : Précédent 94 95 96 97 98 99 100 101 102 Suivant