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Club Littérature

Ces férus de belles-lettres feront de vous des lecteurs intéressés et curieux.

Les blogueurs littéraires partagent le fruit de leurs diverses lectures et leur passion pour la littérature, la poésie et le théâtre. Au fil de leurs blogs, vous apprécierez leurs descriptions, leurs critiques sur les ouvrages qu’ils ont appréciés, leurs réflexions sur le monde des Lettres. Ils vous donneront l’envie d’explorer de nouveaux horizons littéraires.

Tag : jean védrines

Cavalier noir de Philippe Bordas

Photographie (détail) de Juan Asensio. Études sur le langage vicié . Acheter Cavalier noir sur Amazon . Je crains que les jours qu'il reste à vivre à Philippe Bordas au sein de la glorieuse République des Lettres françaises ne soient, hélas, comptés. Selon un atavisme herméneutique plus résolument implanté dans les officines parisiennes que l'immortalité de...

Publié le 29/04/2022 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Morteparole de Jean Védrines

Photographie (détail) de Juan Asensio. À propos de Jean Védrines, Morteparole ( Éditions Fayard , 2014). LRSP (livre reçu en service de presse). C’est dans la discrétion que Jean Védrines fait mûrir une œuvre romanesque subtile, elliptique, parfois fulgurante, dont le sujet unique est la lente destruction de la parole commise par les «milliers de fabriques à petits...

Publié le 31/10/2014 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Morteparole

« …qu’ils n’aimaient pas, au fond, l’expérience somnambule de la lecture, la mort à soi-même, l’égarement dans la voix intérieure des écrivains, surtout, ces furieux de parole, et n’en être que l’écho, l’ombre. Ils révélaient tout jeunes, dès vingt ans, qu’ils allaient tomber dans l’un des vices puissants du siècle : la crainte panique du livre, le dégoût de ce qu’il...

Publié le 27/08/2014 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...

Stalag de Jean Védrines

Crédits photographiques : Daniel Munoz (Reuters). «[Les petits Français] sont tellement fiers d’avoir été langés proprets, dessalés, bien appris aux écoles par leurs maîtres – de jolis barbichus, ceux-là, des braves, sûrement, des bougres miséreux qui, pour la lampée, le pain blanc savent juste vendre au bas monde des phrases longues, vides, réglées, écrasées…».Jean Védrines, Stalag...

Publié le 29/02/2012 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...