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Notes sur le tag : poètes

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Dernières notes

JE CHANTE, JE PLEURE

Je chante dans tous les vents Mais j'ai perdu tant d'amis Je joue pour le printemps Mais mon coeur est gris Et la guitare blonde m'attend Car je sais ce que je vis Les rayons du soleil levant Chassent ce qui est écrit Je t'ai perdu, cher François Maintenant tu reposes sous terre Ce n'est pas la première fois Que mon coeur pleure et se serre. (13.04.09)

Publié le 27/02/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

SUR NOUS DEUX

J'ai l'impression d'avoir tout dit sur nous deux. Quand je t'ai rencontré, tu portais une veste marron. Je ne t'ai pas remarqué plus qu'un autre, non. Je n'avais pas fait de voeux, J'aurais pu passer à côté de toi Comme je passais à côté des autres. Mais j'ai découvert peu à peu que tu vivais Dans le même univers que le mien. C'est à partir...

Publié le 14/02/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

PERNETTE DU GUILLET (1520-1545)

Non que je veuille ôter la liberté A qui est né pour être sur moi maître ; Non que je veuille abuser de fierté Qui à lui humble et à tous je devrais être ; Non que je veuille à dextre et à senestre Le gouverner et faire à mon plaisir : Mais je voudrais pour nos deux coeurs repaître Que son vouloir fût joint à mon désir.

Publié le 02/02/2010 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

J'AIME

J'aime la douceur du soleil du printemps Quand le paysage morose s'attendrit et verdit Et que les oiseaux viennent se joindre à lui Faisant entendre ici ou là leur doux chant. (04.04.09)

Publié le 31/01/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

ILS N'ONT RIEN

Des mots glacés comme au coeur de janvier Des mots qui fendent mon coeur pétrifié Je perds l'envie d'être douce et belle Pour fuir les images noires, et telle Qu'une lampe allumée depuis 100 ans Je me brûle et fond en tremblant Aucun rire je n'entends mes amis Car le monde ici ne vit qu'à demi Et moins que rien, ils n'ont rien Qu'eux-mêmes, les Haïtiens...

Publié le 24/01/2010 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

CACHE TES BLESSURES

Quand tu parles de tes soucis Même si ton coeur saigne ici Ou là cache tes blessures Car tu sais que rien ne dure Pense aux jours heureux Et tu verras tout est prodigieux. (24.03.09)

Publié le 04/01/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

AUTOUR DE HUIT HEURES

Autour de huit heures s'ouvrent les fenêtres Défilent les filles brunes ou blondes Sur les routes en forme de rondes Les voitures engouffrent les kilomètres Autour de huit heures je voudrais t'appeler Je pense à ma longue journée Sera-t-elle grise ou ensoleillée ? Autour de huit heures les trains entrent en gare Le soleil brille les voitures démarrent Les fenêtres s'ouvrent...

Publié le 12/12/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

JEAN DE SPONDE (1557-1595)

Vous languissez, mes vers ; les glaçons de l'absence Eteignant vos fureurs au point de leur naissance, Vous n'entre battez plus de soupirs votre flanc, Vos artères d'esprit, ni vos veines de sang. En quoi ! La mort vous tient ? Et ce front teint en cendre Vous marque les tombeaux où vous allez descendre ? Si vous pouviez encore revoir dedans les cieux Ce feu que s'est caché des...

Publié le 20/09/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

QU'EST-CE QUE MA POESIE ?

Pardon si c'est banal, mais qu'est-ce que ma poésie ? Mes vers sont sous l'empire de la réalité. Voilà pourquoi - peut être - ils vous indigneront.... De la réalité le poète s'amuse mais sa Muse ... ne lui demande pas de toujours magnifier l'existence. Mes vers pourront décevoir... comme peut décevoir la vie, au fond ! Arthur RIMBAUD

Publié le 07/09/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

verbes hauts (abc)

adorer :  Il n’est pas d’ici ou d’ailleurs rien que j’adore  plus que ton pas venant à moi dans le silence  ainsi qu’en ce moment tout ce à quoi je pense  est contenu dans ce feulement que j’implore  Il n’est pas d’avant ni d’après que cette vie  où le soleil ne luit que pour créer ton ombre  et la nuit dévoile ces étoiles en nombre  pour...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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