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Notes sur le tag : théâtre

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Dernières notes

Technokrisis II : Parricides haut-débit

Le théâtre est écrit ; le théâtre est en langues. Il utilise donc, pour parler idiot, le même medium que l’histoire, la philosophie, la politique, le droit et la loi, toutes choses aujourd’hui méprisées, et par ceux-là d’abord, bien souvent, qui en ont charge. Le théâtre n’échappe pas à cet effondrement. Avant d’être ruiné par les catéchistes analphabètes du multimédia...

Publié le 10/11/2007 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Le lieu d'où l'on regarde

Le mot grec "theatron" signifie "le lieu d'où l'on regarde" Théâtre de Delphes

Publié le 09/11/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Freud et Dieu causent grave

Le visiteur d’Eric Emmanuel Schmitt, mis en scène par Gildas Bourdet Mais qu’est-ce que ce truc ringard ? Voilà ce qu’on pourrait se demander d’abord en découvrant le décor brunâtre représentant un intérieur viennois fleurant le vieux rat savantasse, où apparaissent d’abord un octogénaire chenu et sa fille quadra plus vraiment bimbo... Ensuite le thème, mes aïeux : Sigmund Freud...

Publié le 09/11/2007 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Ouverture : 3. Placet beau

  Dans tout ce qui suit ce texte, à l’inverse, les personnages sont plus intelligents que leurs modèles. Ainsi leur bêtise paraît mieux. L’ÔTEUR. – Ce placet beau, très beau, est vidament dédiécassé au Citoyen Suprême, lequel bien sûr ek-siste ainsi que tout le monde le suce. Faut-il le dire que le Citoyen Suprême c’est je-tu-vous dès lors qu’il n’y en a plus rien du tout de...

Publié le 08/11/2007 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Ouverture : 1. Caduc

Je livre ici les deux citations placées au commencement de Tout faut . * Et comme ils n’ont pas jugé bon de garder la vraie connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à leur esprit sans jugement, pour faire ce qui ne convient pas : remplis de toute injustice, de perversité, de cupidité, de malice ; ne respirant qu’envie, meurtre, dispute, fourberie, malignité ;...

Publié le 06/11/2007 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Les folles d'enfer

      Elles. Et nous. Elles, «  les folles d’enfer ». On s’en occupe à la Salpêtrière, sous Louis XIV, sous Louis XV, sous Louis XVI, sous Napoléon… jusqu’à Charcot, fin XIXe. On s’en occupe des folles, on les classe, on les parque, on les dresse, on les punit. Pour leur bien, toujours pour leur bien. On ne fait pas n’importe quoi avec elles. On les...

Publié le 03/11/2007 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

”La vie devant soi”

Mercredi soir, comme cadeau d’anniv, je passai la soirée au théâtre pour découvrir la pièce « La vie devant soi » adaptée du roman éponyme de Romain Gary. L’ami auquel je devais ce merveilleux moment m’accompagnait et découvrait par la même occasion l’univers de M. Gary. Dans le rôle de la vieille pute juive au grand coeur, Myriam Boyer que j’avais découverte dans...

Publié le 02/11/2007 dans 2yeux2oreilles par Fiso | Lire la suite...

Technokrisis I : Nouveaux péquenots, nouvelles péquenologies

Le texte qui suit est celui d'une conférence que je n'ai finalement jamais donnée. Il est encore très emprunt de compromis variés. Il sera suivi d'un texte plus bref, Technokrisis II, que je mettrai en ligne dans quelques jours.       I Avant d’aborder le problème plus spécifique du rapport entre théâtre et technologie, je voudrais dire brutalement qu’en...

Publié le 02/11/2007 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Une amitié salvatrice

  Serge Merlin porte Le neveu de Wittgenstein de Thomas Bernhard avec une intensité sensible prodigieuse. L’extraordinaire émotion théâtrale que nous vaut ces jours la représentation du Neveu de Wittgenstein de Thomas Bernhard dans l’interprétation tantôt désopilante et tantôt bouleversante de Serge Merlin, touche, à partir de la perception tragi-comique de notre chère et putain...

Publié le 01/11/2007 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Ce cher fou de Platonov

A la Grange de Dorigny, Gianni Schneider signe sa meilleure mise en scène avec un Platonov merveilleusement servi par Roland Vouilloz et ses camarades. Un cliché tenace assimile l’œuvre d’Anton Pavlovitch Tchekhov, et notamment son théâtre, à une suite de tableaux doux-acides de la province russe pré-révolutionnaire où des personnages plus ou moins ratés ou revenus de tout, entourés...

Publié le 29/10/2007 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

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