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Notes sur le tag : tanizaki
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Tanizaki, Éloge de l’ombre
Lorsque j’écoute le bruit pareil à un cri d’insecte lointain, ce sifflement léger qui vrille l’oreille, qu’émet le bol de bouillon posé devant moi, et que je savoure à l’avance et en secret le parfum du breuvage, chaque fois je me sens entrainé dans le domaine de...
Publié le 16/03/2022 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Iegor Gran : La Revanche de Kevin
Iegor Andreïevitch Siniavski, dit Iegor Gran, né en 1964, à Moscou, est un écrivain français. Il est le fils de l'écrivain dissident soviétique Andreï Siniavski. Arrivé en France à l'âge de dix ans, il fait des études d'ingénieur à l'Ecole centrale de Paris puis entreprend en parallèle à son travail d'ingénieur une carrière d'écrivain et choisit comme pseudonyme le nom de famille de sa femme....
Publié le 14/11/2017 dans Le Bouquineur par Le Bouquineur | Lire la suite...
Tanizaki : Eloge de l’ombre
Junichirô Tanizaki (1886-1965) est un écrivain japonais. Etudiant à l'université de Tokyo, il publie en 1910 Le Tatouage , une nouvelle qui lui apporte une célébrité immédiate. Il s'engage alors dans la voie littéraire, publiant de nombreux récits qui s'inspirent souvent d'un Occident et d'une Chine exotiques – jusqu'au grand séisme qui secouera Tokyo en 1923. Tanizaki quitte alors la...
Publié le 02/03/2017 dans Le Bouquineur par Le Bouquineur | Lire la suite...
Tanizaki : Le Goût des orties
Junichirô Tanizaki (1886-1965) est un écrivain japonais. Etudiant à l'université de Tokyo, il publie en 1910 Le tatouage , une nouvelle qui lui apporte une célébrité immédiate. Il s'engage alors dans la voie littéraire, publiant de nombreux récits qui s'inspirent souvent d'un Occident et d'une Chine exotiques – jusqu'au grand séisme qui secouera Tokyo en 1923. Tanizaki quitte alors la...
Publié le 02/12/2016 dans Le Bouquineur par Le Bouquineur | Lire la suite...
Bonne à tout se faire
La confession impudique , c'est comme le Journal d'une femme de chambre au service de La maison des rencontres .
Publié le 28/07/2014 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
La carte postale du jour ...
"Je crois que le beau n’est pas une substance en soi, mais rien qu’un dessin d’ombres, qu’un jeu de clair-obscur produit par la juxtaposition de substances diverses. De même qu’une pierre phosphorescente qui, placée dans l’obscurité émet un rayonnement, perd, exposée au plein jour, toute sa fascination de joyau précieux, de même le beau perd son existence si l’on supprime les effets...
Publié le 28/04/2014 dans Manoeuvres... par la bouche plein de terre | Lire la suite...
Tanizaki, Éloge de l’ombre
Lorsque j’écoute le bruit pareil à un cri d’insecte lointain, ce sifflement léger qui vrille l’oreille, qu’émet le bol de bouillon posé devant moi, et que je savoure à l’avance et en secret le parfum du breuvage, chaque fois je me sens entrainé dans le domaine de l’extase. Les amateurs de thé, dit-on, au bruit de...
Publié le 23/12/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Éloge de l'ombre
Photo Jean Louis BEC ( tous droits strictement réservés) Penser aux ténèbres tapies derrière l'ambiguïté de la frontière où se corpusculent dans la pénombre les vagues brûlantes du soleil. Penser aux chambres obscures où la lumière se glisse dans les interstices des persiennes et raye les corps nus. Penser aux vibrations vertes de l'ombre sous le feuillage apaisant la...
Publié le 14/11/2011 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...
Junichiro Tanizaki, Éloge de l'ombre
Tous les pays du monde ont certes dû rechercher des accords de couleurs entre les mets, la vaisselle et même les murs ; la cuisine japonaise en tout cas, si elle est servie dans un endroit trop bien éclairé, dans de la vaisselle à dominante blanche, en perd la moitié de son attrait. La soupe au miso rouge, par exemple, que nous...
Publié le 19/07/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
tanizaki, Eloge de l'ombre
Lorsque j’écoute le bruit pareil à un cri d’insecte lointain, ce sifflement léger qui vrille l’oreille, qu’émet le bol de bouillon posé devant moi, et que je savoure à l’avance et en secret le parfum du breuvage, chaque fois je me sens entrainé dans le domaine de l’extase. Les amateurs de thé, dit-on, au bruit de l’eau qui bout et qui pour eux évoque le bruit du vent dans les pins,...
Publié le 01/04/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
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