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Notes sur le tag : poésie

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Prier les psaumes ? (2) une Parole vivante

81 (suite) Dans la plupart des cas cependant, cette profondeur cachée a peu d'importance. Pour plus de clarté, il est même souhaitable que les tonalités inconscientes du mot vibrent le moins possible. Mais dans d'autres cas c'est le contraire qui s'impose. Le mot doit retrouver sa pleine richesse. Il ne remplit son rôle, on voudrait dire sa vocation, qu'en surprenant l' auditeur...

Publié le 30/11/2010 dans Traversées... par O.B | Lire la suite...

Sac à dos

Et une anthologie de poésie, une ! Mon pêcher mignon ! En plus celle-ci est destinée aux enfants et offre un éventail très large et éclectique d'auteurs contemporains pour prouver aux "lecteurs en herbe" que les poètes et poétesses ne sont forcément des hommes et des femmes mort(e)s comme ils auraient- un peu- tendance à le croire ! Chaque "échantillon" de textes est précédé d'une notice...

Publié le 30/11/2010 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...

Dimanche sous la neige

Dimanche... en photo organisé par Liyah Participent également Evertkhorus , MyaRosa , Lounima , Tiphanie , Hilde , Cacahuete , Lisalor , Choupynette , Elora , Melisende , Fleur , Une maman , Liliba , 100choses , Anjelica , Myrtille , Sandrine , Hérisson , Mohamed SemeUnActe , Ankya ,...

Publié le 28/11/2010 dans Le Livroblog par Hilde | Lire la suite...

Mon rêve familier, de Paul Verlaine

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir,...

Publié le 27/11/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Naissance

Cette nuit, j’ai rompu ma coquille A quoi servent les œufs à la coque ? La mie est douce, mais elle gratte, Quant à la croute, elle écorche. Je suis couverte de cicatrices. Elle était solide. On dit qu’il est impossible De la casser par ses deux pôles. C’est aussi vrai de l’intérieur que de l’extérieur. Elle s’est tournée cette nuit. Elle a même...

Publié le 27/11/2010 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

UNE FENETRE S'OUVRE

Une fenêtre s'ouvre sur demain Dans un espace immaculé Fermé au monde incertain D'un pantin désarticulé. Une fenêtre s'ouvre sur demain Au galop des chevaliers Hors des routes et chemins malsains J'entends les cadavres supplier Une fenêtre ouverte sur demain Dérange les projets souterrains Apparaît un bel Arlequin Dans la grisaille du matin Ouvrant une parenthèse Sur toutes les...

Publié le 23/11/2010 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Où est la poésie ? Pas dans les journaux

J’ai cherché la poésie. Je me suis mis dans la peau d’une personne “ordinaire”. Je l’ai cherchée dans les journaux, dans les gratuits et les magazines nationaux. Voilà ce que cela donne. Il s’agit évidemment d’une critique de la présence de la poésie dans les pages du Monde des livres , du supplément livres de Libération , du Figaro littéraire , des magazines le Nouvel observateur...

Publié le 23/11/2010 dans lapoesiedoit... par am | Lire la suite...

Poème du Jour...

RAHAT-LOUKOUMS J'ai des misères en pentes raides et nues, Les ricochets sans jupes contemplent la mer Pour m'embrasser voluptueusement comme un bouquet C'est endormir mes petites larmes d'opium La science infinie, personnage mandarin de la lune Voilà mon vêtement en cerf-volant de miel glacé. Je l'ai écrit sur le lit transformé de la belle saison Que...

Publié le 23/11/2010 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Avant d'sortir

Pour dire, ça m'est tombé dessus comme une névralgie d'automne en Normandie - je n'en souhaite à personne ! Dans le souffle harassant, sableux, du vent d'autan plaquant sur l'abribus un lot de prospectus qu'avais-je négligé de Superbe ? Quand, passée la panique je fus éparpillé dans sa pyrotechnique je pleuvais des reflets au mille et un effets métonymiques Mon Quatorze Juillet...

Publié le 21/11/2010 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (32)

"Tu me connais comme personne, quand cette maudite épine de l'autocritique me titille, cette conscience que je ne suis arrivé à rien dans tout ce que j'ai tenté, que je tape sur le piano sans aucun art, aucune classe, alors je ne suis plus qu'un homme fragile, capable de tomber entre n'importe quelles mains féminines qui me font croire que je suis ce que je voulais être. Le sexe n'est rien...

Publié le 21/11/2010 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

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