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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Ce que je voudrais être

  Ce que je voudrais être pour toi Ce n’est ni la force, ni le savoir Ni l’orage, ni le torrent, ni la tempête Mais le refuge de tes regards Le lac, la vallée et le logis Je serai aussi pour toi Les piliers de ton temple de vie Celui qui sera toi et rien d’autre L’ombre de ta démarche joyeuse Le soleil du repos de ton âme Et si parfois un vent léger se...

Publié le 26/01/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Madame Ladroite, Service Public et les élections cantonales

Madame Ladroite, fière de son royaume, Vieille souveraine de son département, Voyait jusque-là sans aucun désagrément Service Public souffrir d'horrible Sarkome.   Dans les campagnes de sa généralité, Montaient les plaintes de ses fidèles sujets. Adieu Trésor Public, tribunaux, hôpitaux ! Adieu maternités, écoles et préaux !   Deux-mille-huit vit les élections sénatoriales...

Publié le 24/01/2011 dans La senteur... par HenriGolant | Lire la suite...

loupigne

BESTIAIRE IMPROMPTU Il y a un loup dans ma cuisine venu lécher mes casserolles où n'ont pas cuit profiterolles mais proliféré mes rapines Il y a un thon dans mon bassin pas pour échapper aux filets mais pour y laisser mariner ses formes rondes et boudins Il y a un ours dans mon placard mais n'y voyez pas de faconde s'il grogne et peste sur le monde c'est d'en exécrer le bazar Il y a des...

Publié le 24/01/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (36)

"L'espoir, au contraire de ce que l'on croit, équivaut à la résignation. Et vivre, c'est ne pas se résigner." Albert Camus

Publié le 23/01/2011 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Les flambeaux étaient des mains

  Les flambeaux étaient des mains Et leurs bras étaient ma mort De longues rides sillonnaient leur bronze   Les quais étirent paresseusement leur pierre Et la statue jette sa main en l’air Tandis que le jaune égraine ses écailles de feuilles Sur le gravier qui frôle ses pieds nus   Les deux fêtards se tournent le dos Alors que brûlent leur...

Publié le 23/01/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Nouvelles notes pour la semaison, de Philippe Jaccottet

Maintenant la terre s’est dévoilée et la lumière du soleil en tournant comme un phare fait les arbres tantôt roses tantôts noirs. Puis elle écrit sur l’herbe avec une encre légère. Un soir, le ciel resta plus longtemps clair sur les grands jardins verts et noirs couleur des pluies de la veille. Les globes luirent trop tôt. Alors dans le nid des branches apparut le chant du merle et ce fut...

Publié le 22/01/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

DOUCE NUIT

"Ma chère, entends la douce nuit qui marche" Disait Baudelaire comme démarche Pour rendre à l'instant présent son atmosphère Obscure qui enveloppe la ville en prières Langoureuses ou paisibles ; pleins de remords Sont les mortels : voilà planté le décor Et si la douleur vient ici, il lui tend La main et lui montre le soir qui descend.  

Publié le 21/01/2011 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

PARIS AT NIGHT

Trois allumettes une à une allumées dans la nuit La première pour voir ton corps tout entier La seconde pour voir tes yeux La dernière pour voir ta bouche Et l'obscurité toute entière pour me rappeler tout cela En te serrant dans mes bras. Jacques PREVERT

Publié le 21/01/2011 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Friedrich HEBBEL

Que la poésie soit image, mais qu'elle ne fasse pas étalage d'images, on ne fait point une glace en juxtaposant des miroirs.

Publié le 21/01/2011 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Âme (état de l'état d')

Photo : Oliver Kurmis I   J’ai déposé les armes.       Ça pourrait commencer comme ça :       J’ai déposé les armes.   Ce matin, le train roulait dans l’aube, soleil à l’horizon : ses rayons, je le voyais à l’ombre du train filant vers l’ouest, passaient entre les rails et le bas de caisse....

Publié le 20/01/2011 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

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