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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Haïku Nabirosinais

Les Haikus ne sont connus en Occident que depuis le début du XXem siècle. Les écrivains occidentaux ont tenté de s'inspirer de cette forme de poésie très brève la plupart du temps, ils ont choisi de transposer le Haïku japonais qui s'écrivait sur une seule colonne sous la forme d'un tercet de 3 vers de 5, 7 et 5 syllabes pour les haïkus occidentaux. quand on compose un Haïku en...

Publié le 04/08/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Les collines clignaient de lents feux aux complicités de vieux domestiques.

Ils servaient d’autres maîtres plus rustiques mais nous les investîmes du pouvoir d’aromatiser notre saison. Rien ne réclamait de nommer ces instants signés des pas de nos enfants buveurs de ciel. La part encore intacte dévolue à nos trouvailles suffisait à nous nourrir de pépites accessibles aux plus humbles. Paysan tout empressé de tes écobuages te souvient-il du zèle des...

Publié le 02/08/2011 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Bulle de savon translucide

  Bulle de savon translucide, Tu es l’espace et le temps L’infini et le fini Mon système solaire   Au-delà du globe transparent de ton regard Se cachent ta propre image Et l’image de ton univers   Tu es l’aleph de ma contemplation Le commencement et la fin du temps Ta présence est mon éternel présent Et je mourrai de ton achèvement...

Publié le 01/08/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Voyage en enfance

Loin des routes de vacances, sur les chemins de l'errance, s'en aller pour un voyage, au lointain pays d'enfance.   Au delà de la mémoire, se souvenir des histoires, encagées dessous les coiffes, racontées jusqu'à plus soif.   Entendre encore une fois, les sons aigus du Bagad, quand binious et cornemuses, appellent le cri des mouettes.   Ariaga Vous...

Publié le 31/07/2011 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

EXTRAIT d'un POEME de Marc Antoine de St Amant

L'abeille, pour boire des pleurs, Sort de sa ruche aimée, Et va sucer l'âme des fleurs Dont la plaine est semée ; Puis de cet aliment du ciel Elle fait la cire et le miel.   En photo, une abeille sur mes coronilles.

Publié le 31/07/2011 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (48)

"Quiconque oublie le temps cesse de vieillir. L'oubli triomphe du temps, ennemi de la mémoire. Car le temps, en définitive, ne guérit toutes les blessures qu'en s'alliant à l'oubli." Katharina HAGENA Le goût des pépins de pomme Lyons-la-Forêt (La photo n'est pas libre de droits.)

Publié le 31/07/2011 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Poème du Jour...

reste ce que chacun au moindre mal transbahute de soi un peu plus loin tous les jours un peu plus loin   au mieux on s'accompagne en forçant le sourire   (Poème d'Antoine Emaz extrait de "Boue"" - Editions "Deyrolle" - 1997)

Publié le 31/07/2011 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

René Crevel, Le Clavecin de Diderot

          Pour la France officielle   la poésie c’est, avant tout, un jeu, un exercice d’éloquence. Et il ne s’agit même plus de la faconde méridionale. Le soleil, l’ail, l’accent, le mélange de sperme, de coquillage secret et de fruits trop mûrs, dont se trouve naturellement parfumée toute vieille cité phocéenne, voilà qui a été corrigé par la tristesse...

Publié le 27/07/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Pourquoi courir après les actes

  Pourquoi courir après les actes ? Pourquoi vouloir faire et défaire ? S’arrêter, prendre le temps de se regarder ! Contempler le monde comme le hibou, Les yeux ouverts, sans bouger Et voir passer les incidents Comme de petites blessures A la perfidie de la vie   Calme serein des fontaines Qui coulent au pied des jardins Comme...

Publié le 27/07/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

L’enseigne de vaisseau Mhorn

constata avec satisfaction que son corps d’homme âgé glissait dans l’eau sans grand effort. Après une, deux puis trois balises fixées au fond de la mer, il dépassa la limite où se brisent les vagues et progressa dans une étendue à peine ridée de vent mourant. Parfois, il se retournait et pouvait encore distinguer la plage et les dunes. En nageant sur le flanc, il leva un peu la tête...

Publié le 27/07/2011 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

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