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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Cyrano de Bergerac - E. ROSTAND

J'avais vu il y a quelque temps l'adaption cinématographique de cette pièce par Jean-Paul Rappeneau et j'étais tombée sous le charme des répliques imaginées par Edmond Rostand tout autant que du personnage de Cyrano. Homme vaillant, aussi brave que téméraire, il est capable à lui seul d'affronter cent soldats mais ne peut se résoudre à dire à la femme qu'il aime - la...

Publié le 09/08/2011 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

villégiatures, d'un regard

Urbanités, architectures pignons sur rue et devantures... Ville, tes pages de calcaires alignent fastes et calvaires; impossible d'en détacher l'intrusive curiosité de mon regard plongeant dans tes flots de toitures au hasard et des fenêtres tire des chapelets de crapuleux "peut-être" "va donc savoir" et de m'oublier dans de fantasques histoires Pas de porte, porches, perrons décrottoirs,...

Publié le 08/08/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

LE REVE DU JAGUAR (Charles Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894)

Né à Saint-Paul de la Réunion et élevé avec rudesse par un père de souche bretonne, Leconte de Lisle parcourt l'Inde et les Iles de la Sonde pendant son adolescence. Mais il préfère l'étude au commerce que son père veut lui imposer. Il s'établit à Rennes pour étudier le grec et l'histoire. Après être retourné dans son île natale, il se fixe à Paris où, acquis aux idées républicaines, il...

Publié le 07/08/2011 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (49)

Cyrano ( frappant sa poitrine). ... un seul mot de tous ceux que j'ai là! Tandis qu'en écrivant... (Il reprend la plume.) Eh bien! écrivons-la, Cette lettre d'amour qu'en moi-même j'ai faite Et refaite cent fois, de sorte qu'elle est prête, Et que mettant mon âme à côté du papier, Je n'ai tout simplement qu'à la recopier. (Il écrit.) Edmond Rostand...

Publié le 07/08/2011 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Après des temps d’inattention et d’insolence,

j’eus la grâce d’échouer dans un jardin hirsute. J’y tombai comme une pierre dans les rires pour y demeurer sans peurs et sans attentes. On m’y réserva l’espace des amis las en quête d’une accueillante solitude. Rien ne m’était donc soustrait hormis le nœud d’absurdité qui me gavait pour mieux dévorer jusqu’à ma faim. L’heure discrète du bourdon éclaircit mes prochains territoires...

Publié le 07/08/2011 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Où vont les fleurs ?

Je vous convie donc à voir seulement. Je vous prie de tout oublier à l'entour ; de ne rien espérer d'autre ; de ne regretter rien de plus. VICTOR SEGALEN , extr. "Peintures" , éditions gallimard, 1983.   Doc Watson §...

Publié le 06/08/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Affinités

A quoi bon les poètes en temps de manque ? "Pour moi la poésie, puisqu'il est question de cela, n'est ni une question, ni une réponse. C'est impertinent sans doute de parler de sa propre expérience dans ce domaine. C'est un moment que je célèbre, moi gourmand et insignifiant. Quelle sorte de moment est-ce ? C'est le seul moment qui représente la totalité du temps, l'un qui n'a pas...

Publié le 05/08/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

A nouveau, le silence de la nuit

  A nouveau, le silence de la nuit Comme une auréole sur le tissu Des souvenirs et de l’avenir Où donc m’entraîne cette indolence Avant le lever du jour, pâle et désorienté   J’erre dans ma solitude bénite Comme un amant se noie Dans les bras échevelés et caressant D’une belle au visage de marbre   C’est le temps de la création Des virages...

Publié le 05/08/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Jacques Réda, Celle qui vient à pas légers

       Poète, on ne l’est guère que quelques années dans une vie et, durant ces années, quelques mois ou semaines (je dirai volontiers : minutes) ; qui plus est, sans pouvoir sur le retour de ce saisissement qui nous exclut. Car c’est commodité, si nous ramenons la poésie à des noms de poètes qui en sont si peu les auteurs (comme on a toujours dit — j’entends...

Publié le 05/08/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Casser la course

Et si les bandelettes d’un sommeil destructeur me ravissaient les cris des hirondelles ? J’ai cru m’éteindre en l’absence de cette question et ce fut la réponse qui se profilait avant elle qui me conduisit tout enfant aux portes de la fugue. J’en conçus l’amour de la désertion plus riante que l’alliance aux forces. Un seul pas de côté suffit à mon chemin, je n’eus pas à courir. Désuni,...

Publié le 05/08/2011 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

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