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Notes sur le tag : poésie

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Poème du jour...

LES POMMES J'en veux de brutalement gaulées des victimes du vent. J'en veux pas de vos pommes calibrées qui sont les poules de luxe. J'en veux pas de vos pommes cueillies une à une avec des gants de celles dont vous vantez les charmes sur papier gaufré. (Poème "Les Pommes" de Xavier Bouguenec - Ed....

Publié le 06/02/2012 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

EQUIVOXES 4

En deux sessions, Sur deux samedis de mars aux marches du printemps, Tout près des grandes marées d’Equinoxes La poésie résonnera dans Quimper Pour sa quatrième édition, le Pot aux Roses vous invite à entendre, découvrir et aussi dire la poésie Car en ces temps de crise, la littérature nous propose autre chose que la fatalité économique à quoi la...

Publié le 05/02/2012 dans Le Pot aux... par Martine | Lire la suite...

samedi 10 mars à la chapelle de l’Auditorium de 18h30 à Minuit,place Claude le Coz

Une soirée de duos d’auteurs et d’artistes avec : Emmanuelle PAGANO et Gwenola ROZEC (danse) Edith AZAM et Hervé LE BITTER ( contrebasse) Pause repas Lydie SALVAYRE et Claude BARTHELEMY (guitare et houd) Ludovic DEGROOTE et Viviane MARC (chant)

Publié le 05/02/2012 dans Le Pot aux... par Martine | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (65)

"Le suicide m'attriste. J'ai l'idée d'un gâchis, d'un aveuglement, d'un attentat. On ne fait pas assez la distinction entre la vie que l'on mène et la vie que l'on porte. La vie que l'on mène est, somme toute, secondaire, variable, changeante, soumise à des aléas, déterminée. Elle peut être heureuse ou malheureuse, mais elle ne doit pas remettre en cause la vie que l'on porte - il y a,...

Publié le 05/02/2012 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Hier, j’ai volé dans les courants d’air

Hier, j’ai volé dans les courants d’air Un froid glacial m’accompagnait Et imposait une carapace de glaçons Sur un cerveau aux caténaires neuronales En alimentation discontinue Pourtant je courais, l’esprit léger Nu comme un ver, au figuré Et cet air gelé pénétrait au cœur De ma carapace, ouvrant la chair Opérant son retournement Reconstruisant l’être par...

Publié le 05/02/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

UNE FENETRE S'OUVRE

Une fenêtre s'ouvre sur demain Dans un espace immaculé Fermé au monde incertain D'un pantin désarticulé Une fenêtre s'ouvre sur demain Au galop des chevaliers Hors des routes et chemins malsains J'entends les cadavres supplier Une fenêtre ouverte sur demain Dérange les projets souterrains Apparaît un bel arlequin Dans la grisaille du matin Ouvrant une...

Publié le 03/02/2012 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

C'ETAIT ZOLA

EPISODE 5 (et dernier, ça commençait à faire) Nous arrivons à Son Excellence Eugène Rougon . Oui, je crois que ZOLA est béat d’admiration devant cette catégorie d’hommes hors du commun qui appartiennent à l’espèce des « grands fauves » (voir le Haverkamp de JULES ROMAINS). Il fait tout en tout cas pour que le lecteur épouse la cause de Rougon. ...

Publié le 02/02/2012 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Mortellement

Linogravure réalisée il y a quelques années : La mort avait revêtu son uniforme U n nécessaire de plongée sous-marine Elle pointait sur moi son harpon Et semblait me dire, hautaine : " Qu’as-tu à regarder mes pieds Ils sont chaussés de caoutchouc Et battent la mesure du temps Lorsqu’ils arrêteront leurs frétillements...

Publié le 02/02/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Astral...

Faiseur de beautés, créateur pour amateur de charme éclairé, cette photographie est un appel à la frugalité des temps modernes. Plus rien n’a d’importance. Le temps d’un instant enchanteur où le ciel reflète un état d’apesanteur, dans un éclair, léger et fort à la fois, la voie du Seigneur s’agite avec ardeur, tout est clair, limpide et lumineux. Le plaisir des yeux est en faction, il vous...

Publié le 01/02/2012 dans ” L'Art est... par VALERIE BERGMANN | Lire la suite...

En butée

Un train des fils aux arbres presque nus déjà des tons subtils Poésie des Partances organise au décor des fugitivités l'art de s'offrir à l'œil et de se consommer sans effort ni violence comme un long chapelet d'oublieuses errances L'horizon bayadère où s'appuie la cité en accuse la chair de folle illuminée puis s'en excuse et rabat sur son front rougissant un feutre pailleté de lointaines...

Publié le 30/01/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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