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Notes sur le tag : pessoa

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Dernières notes

J'ai façonné ainsi ma vie

Organiser notre existence de façon qu'elle soit aux yeux des autres un mystère, et que ceux mêmes qui nous connaissent le mieux nous ignorent seulement de plus près que les autres. J'ai façonné ainsi ma vie, presque sans y penser, mais avec tant d'art et d'instinct que je suis devenu pour moi-même une individualité, mienne sans doute, mais qui n'est ni clairement ni entièrement définie....

Publié le 08/11/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

J'interromps si souvent une pensée par un morceau de paysage

Je reste toujours ébahi quand j'achève quelque chose. Ébahi et navré. Mon instinct de perfection devrait m'interdire d'achever ; il devrait même m'interdire de commencer. Mais voilà : je pèche par distraction, et j'agis. Et ce que j'obtiens est le résultat, en moi, non pas d'un acte de ma volonté, mais bien d'une défaillance de sa part. Je commence parce que je n'ai pas la force de...

Publié le 01/11/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les derniers mots de Fernando Pessoa

"Donnez-moi mes lunettes" ; Il était très myope et voulait entrer dans l'autre monde avec ses lunettes. Antonio Tabucchi, Nocturne indien Photo de Jean-Luc Aribaud

Publié le 24/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Non-lieu

" (...) Je suis aujourd'hui perplexe. comme qui a réfléchi, trouvé, puis oublié. Je suis aujourd'hui partagé entre la loyauté que je dois au Bureau de Tabac d'en face, en tant que chose extérieurement réelle et la sensation que tout est songe, en tant que chose réelle vue du dedans." Fernando PESSOA  Extr. "Bureau de tabac"     Photo: les pentes de la...

Publié le 26/09/2008 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Alberto Caeiro, ”Premier signe avant-coureur de l'orage d'après-demain...”

"Qui sait si je serai mort après-demain? Si je suis mort après-demain, l'orage d'après-demain sera un autre orage qui celui qu'il aurait été si je n'étais pas mort. Je sais bien que l'orage n'a pas sa source dans mes yeux, mais si je ne suis plus au monde, le monde sera différent - j'y serai en moins - et l'orage tombera dans un monde différent et il ne sera pas le même orage."

Publié le 24/03/2008 dans folie minuscule par ... | Lire la suite...

Fragments d'un voyage immobile

Pour répondre (entre autres) à Lambert : en l'occurence, je n'avais pas noté la source de cette citation : Je l'ai probablement trouvée dans ce petit livre (Rivages poche) : très bonne introduction (je trouve) à Pessoa puisqu'il est constitué d'extraits et de citations de son oeuvre, plutôt bien choisis et présentés. Après on peut s'attaquer (tranquille) au Grand Oeuvre : Le Livre de...

Publié le 04/07/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Et chaque heure, comme ça, semble être à moi

« C’est l’imagination qui m’a formé. Pour voyager elle m’a toujours pris la main. J ’ai toujours aimé, détesté, parlé, pensé, grâce à elle. Chaque jour je regarde à sa fenêtre. Et chaque heure, comme ça, semble être à moi ». Fernando Pessoa Photo de Gildas Pasquet

Publié le 04/07/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Fernando Pessoa

Quelques lignes tirées de "Le Livre de l'Intranquillité" Chritian Bourgois Éditeur  "Nous ne sommes véritablement que ce que nous rêvons, car le reste, dès qu'il se trouve réalisé, appartient au monde et à ceux qui nous entourent. Si je réalisais l'un de mes rêves, j'en deviendrais jaloux, car il m'aurait trahi en se laissant réaliser.J'ai réalisé tout ce que j'ai voulu, dit le faible,...

Publié le 24/05/2007 dans Geneviève... par Elle et Lui | Lire la suite...

L'intranquillité

Publié le 15/12/2006 dans livres,... par absolu | Lire la suite...

Vertige et merveille

Une fois encore, je relis "Bureau de Tabac". Puis, "Au volant de la Chevrolet". Dans l'oeuvre de Fernando Pessoa, ce sont les poésies d'Alvaro de Campos qui me parlent le plus. Pour me rafraîchir la mémoire à propos de l'hétéronyme Alvaro de Campos, j'ouvre "Une malle pleine de gens" d'Antonio Tabucchi, à la page 66 de l'édition 10/18 : "Campos avait en vérité une âme de vagabond, retenue...

Publié le 27/09/2006 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

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