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Notes sur le tag : nouvelles
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Dernières notes
Par une soirée extrêmement chaude du début de juillet...
Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Par une soirée extrêmement chaude du début de juillet, un jeune homme sortit de la toute petite chambre qu’il louait dans la ruelle S… et se dirigea d’un pas indécis et lent vers le pont K ». Fédor Dostoïevski , Crime et châtiment Par une soirée extrêmement chaude du début de juillet, un...
Publié le 04/12/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
J.G. BALLARD
Marcel Duchamp, Nu descendant un Escalier No.2, 1912 huile sur toile, 147,5 x 89 cm « Mais ce n’était pas seulement sur le monde extérieur que la douceur du temps répandait les prestiges de tant de charmes neufs et de vertus nouvelles et puissantes : le monde intérieur aussi en était visité et l’âme caressée, surtout à la suave approche des calmes...
Publié le 30/11/2008 dans Fin de partie par Thomas Becker | Lire la suite...
Le ciel était une panse d'âne gonflée
Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Le ciel était une panse d’âne gonflée qui pendait très bas, menaçante, au-dessus des têtes ». Luis Sepulveda , Le vieux qui lisait des romans d’amour Le ciel était une panse d’âne gonflée qui pendait très bas, menaçante, au-dessus des têtes. Nous marchions en file indienne à découvert et...
Publié le 29/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
Le roman, c'est une drogue
"Le roman, c'est une drogue. C'est la liberté totale. Madame de Stael disait : " les romanciers sont plus à nu dans leurs oeuvres de fiction que dans leur autobiographie." Je pense que je parle plus de moi dans mes romans que Christine Angot dans ses autofictions. Comme disait Valère Novarina : "Ce qu'il faut écrire, c'est ce qu'on ne peut pas dire." " Anna Gavalda
Publié le 26/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
J.M.G Le Clézio prix Nobel de littérature 2008
"J'écris pour essayer de savoir qui je suis". "Les écrivains sont fragiles. Tous les êtres humains sont fragiles, mais les écrviains sont vraiment des petites choses très fragiles qui peuvent se casser facilement... Donc tout ce qui leur donne du soutien, qui leur remonte le moral, est très bon". J.M.G Le Clézio, prix Nobel de littérature 2008.
Publié le 25/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
”Tous avaient triomphé à leur façon. Simplement en vivant, en parvenant à leur âge.”
Les héroïnes de Mary Gordon craignent souvent de se faire rattraper par un passé qu'elles considèrent comme peu glorieux, vaguement humiliant. Par conséquent , elles ne mentionnent même pas la présence , pourtant évidente,de celles qui incarnent "Celle que nous craignons de devenir quand nous aurons perdu notre prospérité. Celle que nous sommes réellement." Ce...
Publié le 25/11/2008 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...
Debout devant l'évier de la cuisine
Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Debout devant l’évier de la cuisine, les yeux fixés sur les robinets de cuivre qui brillaient si loin de lui et sur la goutte d’eau pendue au bout de leur nez, qui grossissait lentement, puis tombait, David prit conscience une fois de plus que ce monde avait été crée sans tenir compte de lui»....
Publié le 24/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
Condamné à mort !
Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids ! ». Victor Hugo , Le dernier jour d’un condamné. Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul...
Publié le 23/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
Dans la nuit Mozambique
Devant participer à une rencontre-dédicace-lecture de Laurent Gaudé par un froid samedi soir d'hiver, j'ai ouvert par le jeu du hasard des étagères de bibliothèque publique son recueil de nouvelles, Dans la nuit Mozambique. Autant le dire, je bénis et le libraire et le hasard qui m'ont fait rouvrir les oeuvres d'un romancier que j'avais abandonné après son Eldorado, ce qui m'aurait fait...
Publié le 20/11/2008 dans Chiff' par Chiff' | Lire la suite...
L'aube surprit Angélo béat et muet mais réveillé
Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « L’aube surprit Angélo béat et muet mais réveillé. ». Jean Giono , Le hussard sur le toit . L’aube surprit Angélo béat et muet mais réveillé. Il s’était enroulé dans une grossière couverture de bure, et avait passé la nuit sous un arbre chenu aux racines tracassées. Le soleil...
Publié le 17/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
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