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Notes sur le tag : nouvelle

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Dernières notes

La tête entre les mains sous l’escalier

Même si après des années, les meilleurs, nos modèles, l’ont encore, cela ne m’était d’aucun secours. Le monde s’était réduit à ces quelques mètre-carré que j’allais devoir arpenter en lâchant, ou plutôt en déglutissant, quelques paroles. J’avais quitté les autres car soutenir leur regard était maintenant au-dessus de mes forces, tel Narcisse se contemplant dans l’eau d’une source, j’avais...

Publié le 05/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Le parking

Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Mes jambes m’emmenèrent jusqu’au parking. Je marchai machinalement. Il y avait ce vent, déjà un peu frais pour la saison, qui cinglait mes joues. J’enfonçai mes mains dans mes poches, résigné. Le chemin, je l’avais empruntai des centaines de fois, des milliers sans doute:...

Publié le 04/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Déséquilibre

Juste un déséquilibre, apprendre à marcher sans béquille.. Quelques larmes roulent en entendant "l'poinçonneur des Lilas", un vague à l'âme sur les quais de Seine, la nuit. Toutes ces lumières qui scintillent, ce vent insolent de fraîcheur. La rue Mouffetard, pleines de rires, d’alcool, de drames latents. Ta guitare entre ses mains, les cordes qui vibrent et mon âme aussi. Des...

Publié le 04/11/2008 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

La médiocrité

Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 La médiocrité. Ce mot, ces quatre syllabes, me font l’idée du tranchant de la guillotine entamant la chair du pauvre supplicié. Ces syllabes tintent dans ma tête. Méchamment. Médiocrité. Cette ritournelle me donne la nausée. Pareil à une drogue que vous savez pertinemment...

Publié le 03/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Café Corneille

Cinquième texte à être mis en ligne sur Feedbooks, la nouvelle Café Corneille est parue dans une première version en 2002 dans la revue Harfang . Une œuvre de fiction ayant pour cadre un lieu réel de Lyon : un café-bibliothèque près de la préfecture. Jean-Paul, qui vient de prendre une année sabbatique pour écrire, vient y contempler les livres et rêver de son œuvre à venir…...

Publié le 02/11/2008 dans L'annexe par Jean-Jacques NUEL | Lire la suite...

La Lettre III (fin)

L e regard est le premier des contacts. Le premier toucher, impalpable mais sensuel. Je plonge dans tes yeux immenses et sombres et me laisse subjuguer par le charme de ton corps. Une pulsion irrépressible me pousse et m’attire vers toi, et ton regard électrise tout mon être. Je t’enferme dans l’espace de mes bras. J’embrasse tes lèvres pulpeuses que j’aime croquer jusqu’au sang. Je laisse...

Publié le 26/10/2008 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...

La Lettre II

  C omment vivre après toi ? Que faire ? Que dire pour te retenir, te garder près de moi, te garder dans mon espace vital ? Je te trouverai, je te raconterai combien je t’aime, combien je ne puis vivre sans toi, sans savoir où tu seras, où tu iras. Je te dirai : ne t’en vas pas, reste ! Reste près de moi, car je t’aime, et même ce mot est faible pour exprimer...

Publié le 25/10/2008 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...

La Lettre

    Quel fut l’instant où l’univers s’est restreint à son seul regard, à son seul sourire ? Quel fut l’instant où le monde tout entier fut absorbé par le seul espace de son corps ? Quel fut le moment, cette seconde fatidique où tous les autres se sont transformés en ombres évanescentes pour ne laisser place qu’à un seul être ? Quand cela s’est-il produit ? Et...

Publié le 22/10/2008 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...

Une Femme (Fin)

  La volonté d’Athéna se dresse comme un rempart face à l’homme et sa mère et les jeunes gens s’apprêtent à leur mariage. Pendant ce temps, la Mort se prépare. Elle sort de son antre. Elle observe, guette. Elle se laisse oublier, se tient prête et ricane. Au moment propice, elle frappe. Vite. Promptement. Bien. Personne n’est préparé, personne ne s’y attend. Athéna encore moins que les...

Publié le 19/10/2008 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...

Une Femme VI

Immobile sur son lit, elle laisse son corps subir les outrages de la médecine. On la soigne, on s’acharne sur sa chair épuisée, on l’extirpe de l’inconscience, on la maintient en vie. Au fond de son être, Athéna est prête à s’abandonner à la lueur qui l’appelle, qui lui promet la délivrance, qui l’emplit de quiétude, de sérénité. Mais la décision ne lui incombe pas. Aux autres de disposer...

Publié le 18/10/2008 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...

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