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Notes sur le tag : néant

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Dernières notes

Jean Tardieu, Formeries

          Comme bientôt       ( Grains de sable les étoiles )   Comme j'entends déjà mourir ma raison ma mémoire dans les chantiers déments de l'avenir soit que j'ouvre la porte ou que je   la referme sur l'obscurité qui m'enfante et qui m'efface et qui livre au néant radieux...

Publié le 25/12/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Le vide ?

   Les physiciens nous apprennent que le vide en tant que tel n'existe pas. Ce qui semble en avoir toutes les caractéristiques, à première vue, est en réalité rempli d'énergie invisible, et gorgé de matière "en état de veilleuse". Cette question nous intéresse beaucoup lorsqu'il s'agit d'imaginer ce qu'il y avait avant le big bang. Etait-ce le néant ? Probablement pas, même si les...

Publié le 12/12/2013 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Hors de l'être, hors du faire

   Si jamais je venais à bout de ma lecture de Heidegger, je dirais sans doute, encore une fois, qu'en parlant de l'être de manière centrale, le philosophe a malgré tout soupçonné l'intérêt de se situer "hors de l'être". C'est une intuition que je ressens confusément chez lui, et qui irait d'abord de pair, me semble-t-il, avec "l'oubli de l'être" dont il est si souvent question...

Publié le 04/12/2013 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Vie et mort d'un prix littéraire

  Je crois finalement que je vais créer un prix littéraire. Il faut s’ennuyer ferme pour accéder à des pensées aussi dérisoires. Il porterait un nom prestigieux, mobiliserait un petit jury réellement compétent et en conséquence ne serait jamais remis à personne. Pour être sûr de ne pas céder, après quelques années, à la tentation de le remettre à quelqu’un qu’on aime bien...

Publié le 21/10/2013 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Guillevic, Accorder, poèmes 1933-1996

Ce qui dans la pleine nuit Te manque Ce n'est pas que la lumière.   Mais cette espèce de plafond Qui dans le jour forme le ciel.   Cette absence Gonfle l'immensité Te diminue encore.   Te voici fourmi Sans fourmilière,   Égaré comme dans le néant....

Publié le 03/08/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

PASSAGE A VIDE

  PASSAGE  A  VIDE   L’écriture est une magie puissante, Capable parfois d’atténuer certaines douleurs. ne rien perdre, Elle sait n'avoir rien perdu de cette magie là, Sauf que rien encore n’a été accompli, Tant à l'imaginé du monde tout reste à faire.   Dans la répression grave de l’instant présent, Il n’y a...

Publié le 01/07/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

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« Le détachement tend vers un pur néant, car il tend vers l'état le plus haut, dans lequel Dieu peut agir en nous entièrement à sa guise » . Maître Eckhart, Du Détachement (Oeuvres) , p. 25. « Pour arriver à goûter à tout, ne désire avoir goût à rien. Pour arriver à savoir tout, ne désire savoir quelque chose en rien. Pour arriver à ce que tu ne goûtes pas, tu dois aller par...

Publié le 29/06/2013 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

Note marginale

  Un jour, hier, j’ai expédié, j’allais dire ad patres , mais au vrai ce serait plutôt vers les fils – quoi qu’ils en aient à foutre –, j’ai expédié donc en cinq vers, en soixante syllabes , avec ce calme qui toujours m’effraie dès que je m’en extrais, toute une histoire d’amour, une assez belle histoire dont le dénouement même ne fut point ridicule. J’ai posé mon stylo bleu et...

Publié le 16/06/2013 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

La route

La nuit La nuit, l'enfance s'efface complètement. Les diables sortent par la porte de derrière ; les fées se drapent de tulle rouge et les rangées de serviteurs proposent des verres de champagnes à nos mains tremblantes. Tu t'appelles je ne sais pas encore comment. Tes lèvres frissonnent de peur, de tendresse ou de froid, peut-être, bien qu'il fasse chaud au creux du bar du Temps....

Publié le 04/05/2013 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

Jules Renard, Journal

Éloge funèbre. La moitié de ça lui aurait suffi de son vivant.   On se fait des ennemis. Avait-on des amis ?   Le monde serait heureux s'il était renversé.   Un homme qui aurait absolument nette la vision du néant se tuerait tout de suite.   À considérer les appétits bourgeois, je me sens capable de me passer de tout.   Je ne tiens...

Publié le 15/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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