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Notes sur le tag : manifeste polétique

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Dernières notes

malassila

Le livre m'est tombé des mains comme une pierre, Pierre Ta maison s'est fermée, hier sans prévenir Je marche, à nouveau, sur la terre le verbe au poing « C'est vrai qu'on est mal assis, là » crozine fière, Pauline... (au loin mystère) Des mots, denses, devant moi forment un fringuant rigodon J'y raccorde mon pas, mon nom d’anciennes peurs fanées pis qu’un bouquet de pleurs Et voilà, ça...

Publié le 22/01/2019 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Ô manifestes polésiaques

P oésie naît d'un franc délire : le désir de dé-lire un monde O h ! et du besoin d'en chanter les miracles les plus discrets L à, j'ai formé des arguties que l'On n'enseigne pas d'Ici E t, d'humilités z'en facondes du bonheur au plus sombre empire S e mêle de nous rameuter la poussière jusqu'au palais I ci vient tomber la cravate et Là s'en dore la patate A h ! Tu vois ce que...

Publié le 30/06/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Ursule, las...

À la queue-leu-leu, les trains-trains pour le transport des lieux-communs vers leurs stations inamovibles pourquoi donc y suis-je sensible ? puisque je ne m’y sens pas bien allant et venant mon chemin jamais autrement qu’à l’encontre ou pour n’y voir briller qu’un cent de molles montres   Ah, le chouchou de sa nana… ! (où minuscule s’imposa) La main déjà moins conquérante...

Publié le 25/10/2014 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Langue de bois

A u long des feuillets, gouttez, Millénaires... Densité de l'aire, un chœur en foret frêle sous vos pieds, sonde les ombrages La terre et son âge ont le vain mauvais U ne magie noire aux doigts effilés lisse une peignée de sa main d'ivoire à l'orée du soir étouffant le jour d'un semblant d'amour mâtiné d'espoir R isée, vole un peu de l'humilité à l'or embué de lourds aromates qui traînent...

Publié le 27/08/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

L’Enfant-Sage

E coulé de la nuit aqueuse, orange et douce où tu suçais ton pouce à l'abri des regards te rêvais-tu déjà sage et humble vieillard choyant de ton jardin les arbres et les pousses ? N ourri de floralies sanguines et charnelles encore ivre du miel de ton premier séjour tu t'offres comme un fruit gorgé de bel amour dont tu tiens fermement le fanal éternel F eras-tu basculer le monde sur ses...

Publié le 05/03/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

coutures

Files filiales, filiations ! Dites-moi, sans compromission quel est de ma pensée le fil qui la sauve de l'Imbécile et renoue avec l'essence les Rien z'et les Tout ? Sur ma pelote hebdomadaire se pourrait-il qu'un dromadaire arguant du pagne d'Osiris me refusât son oasis ? Sur le parvis des cathédrales offert au vide sidéral tricottent des veuves sans faim la laine de nos Lents Demains...

Publié le 26/03/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

dénoué de sens

J'étais las, empilant, étage après étage mon distant sentiment (mon manque de courage ?) que de ma tour d'ivoire aux parois amovibles se repeigne de noir le centre de la cible Quand j'eus cette impression, volage puis tenace que mon éducation n'était qu'une carcasse lourde, impropre - futile ? dont m'indisposait que le panache rutile Aussi, j'ai résolu de me faire une corde pour échapper...

Publié le 14/09/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

villégiatures, d'un regard

Urbanités, architectures pignons sur rue et devantures... Ville, tes pages de calcaires alignent fastes et calvaires; impossible d'en détacher l'intrusive curiosité de mon regard plongeant dans tes flots de toitures au hasard et des fenêtres tire des chapelets de crapuleux "peut-être" "va donc savoir" et de m'oublier dans de fantasques histoires Pas de porte, porches, perrons décrottoirs,...

Publié le 08/08/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

La preuve par l'œuf

  À quel endroit sévère et froid ai-je oublié jusqu'à ton nom ? Mon rêve Déraisonnable sève tu m'égouttes l'ennui sur les plis d'une grève et le fleuve assouplit sa courbe fructifiée tu m'effeuilles la nuit chaque jour indompté volète au pied de l'arbre volète dans l'allée où promène l'idée que je me fais du cours de la semaine À quel moment perdu de...

Publié le 06/03/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

pyrogravure

Ce que j'en dis... Je me le jure (à m'en tatouer le cerveau) ! La chair où j'imprime ces mots en usant de pyrogravure même vouée aux déconfitures c'est du brûlot ! que mes songes hydrocarburent Ce que j'en vois...Je le délis d'un regard affamé de sens je projette des renaissances l'inacuité des arguties quand ce que je perçois d'ici nébulescence m'entoure et soudain me suffit Pas compliqué...

Publié le 06/03/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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