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Notes sur le tag : mélancolie

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Dernières notes

Codicille (à la quadrature de Porto)

  Une belle ville doit sublimer la pluie. Porto est très belle, plus encore  que ce que tu en gardais en ta mémoire. Il faisait, depuis le début de l'après-midi, toile grise, puis vers seize heures, le crachin a fait son fil, une laine peignée d'humeurs trempées sur le Douro, quelque chose qu'on trouve en Bretagne (les mouettes en plus flottaient en harpies au-dessus des têtes),...

Publié le 18/12/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

De la mélancolie française...

A l'occasion de la sortie au Livre de poche de Mélancolie française d' Eric Zemmour , nous reproduisons la présentation qu'avait fait Alain de Benoist de son auteur pour l'hebdomadaire jeune-conservateur allemand Junge Freiheit en avril dernier.     Le phénomène Zemmour En dépit du « politiquement correct », il y a encore beaucoup...

Publié le 25/11/2010 dans Métapo infos par Zed | Lire la suite...

Matin

                                                          "L'omnibus, pressé d'arriver à la dernière station, dévore l'espace, et fait craquer le pavé... Il s'enfuit !"...

Publié le 21/11/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

S'armer d'une folle espérance...

  labyrinthe de la cathédrale de Chartres       "Qui veut se souvenir doit se confier à l'oubli, à ce risque qu'est l'oubli absolu et à ce beau hasard que devient alors le souvenir"                                   Maurice Blanchot,...

Publié le 05/11/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Les feuilles mortes ne se ramassent plus à la pelle

Les feuilles mortes ne se ramassent plus à la pelle, les employés de la voirie sont désormais équipés de matériel plus performant mais aussi plus bruyant. Actuellement ils sillonnent les rues de ma commune presque chaque jour avec leurs aspirateurs/souffleurs greffés sur le dos. Les uns – petits joueurs - aspirent les feuilles alors que les autres pour les grandes surfaces, regroupent en tas,...

Publié le 03/11/2010 dans Corboland78 par Le Corbeau 78 | Lire la suite...

L'oiseau qui cachait la forêt

  Rousignol du boys ioly a qui la voix resonne pour vo’ mettre hors dennuy vostre gorge iargonne gazouille frian frian tr tar tar tu velici ticun tu tu qui lara fereli fi fi coqui oy ty trr turri huit teo turri quibi frian fi ti trr tycun quio fouquet fi fi frr   Extrait d'une chanson tirée du "Chant des oiseaux" de CLEMENT JANEQUIN...

Publié le 22/09/2010 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Météorologiques

  La pluie en été. Parce que la fenêtre ouverte. La fraîcheur. Cette association momentanée des contraires en une hostilité bienfaisante. L'orage plus encore, quand se confondent la suspension de la chaleur et le souvenir vague des ondées hivernales, de celles qui nous faisaient frémir derrière la vitre, et d'un léger mouvement de tête nous apercevions les boucles fumantes du thé ou du...

Publié le 26/08/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Cette rumeur qui vient de là....

  On ne perd jamais la trace de quelqu'un qui a compté, puisqu'il nous laisse son empreinte, face à laquelle ne tient nulle anthropométrie. Et cette empreinte, un jour, nous en faisons un motif, unique ou récurrent - hapax ou métaphore filée courant de mots en mots, de phrases en phrases, de textes en textes. Ainsi la vie court-elle, en vitesses mélangées, de ces révolutions...

Publié le 10/06/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Munch ou l'angoisse de vivre sublimée en art

Edvard Munch est né sous le signe du malheur. Il a grandi et vécu dans une grande proximité avec la maladie et la mort, qui n'ont cessé de frapper, après sa mère et sa sœur, tous ses proches. En lui, Eros luttait perpétuellement avec Thanatos, mais c'est l'instinct de mort qui l'emportait à chaque fin de cycle de sa vie, en laissant l'artiste toujours plus seul et angoissé que jamais....

Publié le 08/06/2010 dans Le Uhlan par Le Uhlan | Lire la suite...

Un monde de vanités

Dans la dernière exposition au musée Maillol, la vanité est entendue de manière exclusive comme la représentation d’un crâne. Cette conception, pour rigoureuse qu’elle soit, n’en est pas moins trop restrictive et paradoxalement extensive. La seule représentation d’un crâne fait-elle la vanité ? A l’inverse, une  nature morte sans crâne ne mérite-t-elle pas cette qualification ? Autre...

Publié le 05/05/2010 dans Le Uhlan par Le Uhlan | Lire la suite...

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