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Notes sur le tag : littérature

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Dernières notes

Variété

« Variété, c’est ma devise. » : Voltaire

Publié le 07/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Tragédie, farce (2), par Stéphanie M.

L'acte I est ici.   ACTE II     3. An’ now, the clownes   ANNONCE : Dans cet exercice, aucun animal humain n’a été maltraité. Si c’est possible.   ELLE. – J’aime ta peau. LUI.   – Qu’est-ce que j’y peux ? ELLE.   – Tu sais… je ne pensais pas...

Publié le 07/10/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Plus inépuisable que les mines

«  Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe. Il n'a point de mines d'or, comme le roi d'Espagne son voisin ; mais il a plus de richesses que lui, parce qu'il les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines . » Montesquieu, Les Lettres persanes

Publié le 07/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Lettres (Mme de Sévigné)

Je me trouve dans un engagement qui m'embarrasse : Je suis embarquée dans la vie sans mon consentement ; Il faut que j'en sorte, cela m'assomme ; et comment en sortirai-je ? par où ? par quelle porte ? quand sera-ce ? en quelle disposition ? Souffrirai-je mille et mille douleurs, qui me feront mourir désespérée ? aurai-je un transport au cerveau ? mourrai-je d'un accident ?...

Publié le 06/10/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Extrait de NOCTURNES de Albert LOZEAU

O lune, qui ce soir a l'air d'une malade, Lune pâlement bleue, astre cher au nomade, Lampe d'or du poète et soleil des hiboux O lune ! qu'as-tu donc à pleurer comme nous !

Publié le 06/10/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

L'auberge de nulle part de Roberto Innocenti

chez Gallimard ©Gallimard Un auteur avec un nom pareil, c'est déjà une invitation à la rêverie. Une première page qui présente  cet auteur en quête d'inspiration, ça intrigue. On suit alors ce personnage jusqu'au bout de la route, sur le rivage, à l'Auberge de Nulle Part. Il y croise dans une ambiance délicieuse des pensionnaires assez étranges, qui nous rappellent tous un peu...

Publié le 06/10/2008 dans Petites... par Faelys | Lire la suite...

Une émouvante beauté

De la suite de ces années je ne revois plus les après-midi : il n’y aura plus désormais, avec Galia, d’après-midi, je ne revois aucune de nos après-midi lorsque nous vivons ensemble et après l’avoir quittée, tout le temps de l’arrachement après m’être arrachée à elle, après avoir cassé de la vaisselle, un soir sans après-midi, je me retrouve pantelant, le soir seulement, et seul, le...

Publié le 06/10/2008 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Le Nom

  …Les montagnes s’en foutent mais ce n’est pas une raison pour dételer, me dis-je ce matin de redevenir abeille à besicles et c’est pour elles aussi, dont je me disais à dix-huit ans qu’elles me rasaient de ne pas voir la mer, mais qui me la font voir plus vraie en vérité véritable - c’est pour elles que je reprends ce matin la montée dure et pure des mots sur la blanche...

Publié le 06/10/2008 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Tragédie, farce (1), par Stéphanie M.

    0. Préface pour plus tard   C’est par pitié que j’écris. J’ECRIS PAR PITIE. Au point paradoxal de retournement du mépris. Là exactement où ce qui doit être adressé aux pitoyables est lui-même nécessairement impitoyable et prend le nom glorieux de Pitié, donc. TOUT EST A MERCY, donc. Je n’ai pas vraiment voulu ce qui suit, que j’avais...

Publié le 06/10/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

L'espérance au coeur des ténèbres

La Route de Cormac McCarthy évoque, sous un ciel d’apocalypse, la survie de l’homme dans le monde dénaturé de l’hiver nucléaire. Il n’est pas de roman contemporain plus sombrement désolé que La Route de Cormac McCarthy, et il n’en est pas non plus qui laisse au cœur un tel sentiment de justification de la vie humaine restituée dans sa part sacrée. C’est le livre d’un...

Publié le 06/10/2008 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

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