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Notes sur le tag : littérature

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Dernières notes

verbes hauts (def)

donner *:  Nuage, sans visage et sans nom  tu forces mon admiration  je te contemple et je voyage  sur tes volutes de coton  je m'obstine à te reconnaître  à te nommer, à te faire être  monstre, divagation  en abusant à ton passage  mon imagination volage  Nuage, clé des songes  presse ma vue comme une éponge  Nuage,...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

verbes hauts (ghi)

gémir :  Patientes patientes,  dans la salle d’attente  la petite Flore et sa mère…  l’une un bonbon à la menthe  l’autre une lèvre amère  bien en bouche, bien en chair.  - Entrez, entrez, fait le bon docteur,  asseyez-vous, mets-toi donc ici ;  raconte-moi ton malheur,  il n’en est pas de petit.  L’enfant ne dit mot, la...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

verbes hauts (jkl)

jouer :  pour ne pas jouer avec le feu  il faudrait être sot  comme un seau vide d’ohs et d’ahs  mais rempli d’eau  pour ne pas bousculer le sort  il faudrait être chat  pas comme un fringant chamois d’or  mais bête chat  pour ne pas déranger pépère  il faudrait être mûre  pas de ces tristes murs de pierre  mais mûres...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

verbes hauts (mno)

mourir :  Combien de fois, allez, t’aurais-je entendu dire  mon cœur, je veux mourir  et sitôt rebondir de puérile vigueur    Tu me fatigues, allez, de là je crains le pire  ma peine : de finir  dans un affreux soupir sans savoir à quelle heure  La triste vanité de cet obscur empire  qu’un rémanent désir  porte jusqu’au loisir de...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

verbes hauts (pqr)

plaire :  Il me plaît qu’il ait plu avant la nuit venue  étouffer dans la gorge mes songes  le pavé roucoule un mensonge  au brillant d’une lame nue    Tu n’as pas reparu et ne paraîtras plus  trottinant vivement dans le square  à ton cou la tulipe noire  vague de jais borde l’écru  Ainsi ai-je connu que tu ne l’aimais plus...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

verbes hauts (stu)

savoir :  A quoi bon dire ce que l’on sait  quand il nous faut toujours apprendre  et qu’il reste tant à comprendre  et qu’on n’atteint jamais le vrai.    J’aime autant redire ce que je vois  ce que je ressens à travers toi  ou ce que je peux toucher du doigt…  De toutes ne prends qu’une loi :  «  Je sais bien que je ne...

Publié le 07/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Tempête dans un encrier

Vous en souvient-il ? Non ? Comme c’est dommage ! Mais encore faut-il que je vous dise de quoi il en retourne, tout de même… Vous en souvient-il - disais-je - des Sept mains , ce blog collectif initié en février 2009 par Marc Villemain et qui sévit gaillardement jusqu’en juin ? Il n’existe plus, ce blog,  en tant que tel. Mais nous sommes quelques-uns et unes à avoir fomenté...

Publié le 07/09/2009 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

L'aube atteinte

L’aube vient, qui l’entend étirer sous le vent ses longues jambes claires ? La nuit feinte l’instant cabre vers l’occident son voile bayadère Au saut du lit la Terre teinte dans la poussière ses cheveux gris et blancs Des animaux s’affairent d’autres s’en vont en guerre et marchent sur l’orient C’est l’aube sur Paris et sa jupe blanchit à chacun de mes pas...

Publié le 06/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Mauvaise foi versus zombies

Il est deux heures du matin, peut-être, et il commence seulement de faire bon. Quelques invités déjà ont déserté notre jardin, juste après le barbecue. Il reste un peu partout sur la grande table les reliefs du repas, des verres, des cendriers remplis et quelques cubis vides. Nous ne sommes plus que trois ; F., qui est comédien ; et mettons, M., jeune femme s’adonnant au vice...

Publié le 06/09/2009 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

UN POEME DE LOUISE LABE (1526-1566)

JE VIS, JE MEURS...             Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie. J'ai chaud extrême en endurant froidure ; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie ; Tout à coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un...

Publié le 05/09/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

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