Créez votre blog gratuit ou pro
Notes sur le tag : littérature
Tags relatifs
Dernières notes
L'IMPOSTURE ECONOMISTE
Dans le zoo fou qu’est devenue la planète, l’économiste occupe une pace de choix. Que dis-je : l'animal tient le haut du pavé du centre de l'échiquier. Comme ils disent eux-mêmes, ils sont « incontournables ». Ce sont, disent-ils, des « spécialistes ». Leur spécialité, c’est l’économie. Une « science », paraît-il. Drôle de science quand même. La science, on...
Publié le 26/05/2011 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Une île (10)
J’ai souri à ses propos. « Il faut parfois prendre des risques et forcer le destin, non ? La nuit est la nuit et elle ne sera romantique que si j’ai envie de la voir comme telle. » « Soit. Et bien entrons dans le château, vous me direz comment vous le trouvez. Personnellement il me semble surtout lugubre. Il est vrai que j’y vis seule, avec juste une ou deux femmes qui...
Publié le 26/05/2011 dans Marche romane par Feuilly | Lire la suite...
Poème du Jour...
Dans la barque, au ras des eaux, qui s'assoupit, La voile large tendue parmi l'espace et blanche, Tandis que le jour décroît, que le soir penche, Le bon rocher vogue sur le fleuve infini. A pleine voile, aussi, le soir, l'idée luit, Au-dessus de la vie et du tourbillon de l'avalanche, Blanche en un encadrement de sombres...
Publié le 26/05/2011 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...
INSULTE
Le critique insulte l'auteur : on appelle cela de la critique. L'auteur insulte le critique : on appelle cela de l'insulte. (Henry de MONTHERLANT)
Publié le 25/05/2011 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Organes
Notre conscience, bien sûr, avec ça toujours que nous ouvrons les yeux sur la lumière du monde, chatoyante, éclatante, aveuglante, reconnaissons les formes que nous prenons, au fil de l’éphémère, toi, moi, les autres, de proches en lointains, par les routes et les villes, les êtres qu’on y trouve, apparences. Ce prétexte... Nos organes, nous qui si fermement nous croyions l’ovale d’un...
Publié le 25/05/2011 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...
L'obscurité du dehors de Cormac McCarthy
Crédits photographiques : Arif Ali (AFP/Getty Images). Cormac McCarthy dans la Zone . Acheter L'obscurité du dehors sur Amazon . L'obscurité du dehors nous semble moins impénétrable, dans le deuxième roman, gothique par excellence, de Cormac McCarthy (1), que celle dans laquelle les personnages accomplissent leurs actes sans même les avoir fomentés (cf. p. 118) et,...
Publié le 24/05/2011 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...
Ceux qui vont en justice
Celui qui réapparaît menottes aux poings / Celle qui a porté plainte contre le Prince Charmant / Ceux qui voient la vie de leur enfant exposée aux regards du Tribunal / Celui qui se demande ce qu’il serait devenu avec un père ivrogne dans un pays en guerre et plus ou moins douze frères et sœurs si l’accusé n’a pas menti sur cela aussi / Celle qui regarde la mère de la victime de son point...
Publié le 24/05/2011 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...
ELOGE DE LA DISCRIMINATION
L'ETAT DES MENTALITES Ce qui est grand n’est pas petit. Ce qui est bleu n’est pas vert. Ce qui est LÁ n’est pas ICI. Ce qui est loin n’est pas près. Ce qui est A n’est pas B. Ce qui est lourd n’est pas léger. Ce qui est dur n’est pas mou. Ce qui est vivant n’est pas mort. Ce qui est virtuel n’est pas réel. Ce qui est vrai n’est pas faux. Ce qui est devant n’est pas derrière. Ce qui...
Publié le 24/05/2011 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Une plume au curare
J'évoquais , il y a quelque temps, Henri calet et je faisais un rapprochement entre son écriture et celle de Georges Darien, en ce que ces deux auteurs ont en commun une plume délectable au service de l'antiphrase permanente. Une plume ironique, façonnée par une impeccable maîtrise de la dérision . Plus de trente ans que l'Epaulette me suit partout et plus de trente ans que je relis...
Publié le 24/05/2011 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...
Convalescent
Complètement tiré d’affaires mais pas encore rétabli. Une semaine qu’il avait quitté l’hôpital. Drôle d’état, cet entre-deux. « Convalescent ». Ce qu’en dit le Robert : du participe présent latin « convalescens », reprendre des forces . C’est un peu ça, se tâtant le poumon, pensif : de la vigueur, vieille éponge, du punch, sacré vieux pilote....
Publié le 24/05/2011 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...
Page : Précédent 1123 1124 1125 1126 1127 1128 1129 1130 1131 Suivant
Tags les plus populaires
actualité europe affaires européennes cinéma jean luc romero michel sarkozy ville de vanves cartoon film france monique dixsaut platon caricature chanson corée du sud littérature coréenne paris philosophie russie alexandre douguine chanson francaise gaza noir coréen occitanie savoir société trump allemagne bayrou blog chine cinema critique dieu encre feutre films lgbtqia littérature livre médias palestine plateau de vanves recettes roman noir coréen tradition ukraine avignonnais capitalisme eglise