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Notes sur le tag : jacques ancet
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Dernières notes
Cinéma muet (extrait) de Jacques Ancet
La lumière se nourrit du noir. Il la révèle. Comme le sang révèle la vie et son envers, la voix, le silence qui l'engendre. Ce qui commence est sa propre fin et l'immuable le devenir. Il n'y a d'autre au-delà que le seul mouvement d'une même matière. Ca vient, ça s'en va, c'est toujours là. Cinéma muet, Journal de l'air, p 82, Editions Arfuyen Dessin de Pierre...
Publié le 26/08/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
Jacques Ancet, Chronique d'un égarement
[…] Ce qu’on appelle la beauté. Pour dire ce qui s’échappe. Quelque chose qui n’est ni les feuilles, ni la lumière ni les couleurs mais l’instant de leur rencontre. Comme l’oiseau et son cri ou la main et son ombre. Un suspens de celui qui parle au milieu de ses mots. Je ne dis plus rien. Mais sur la joue, je mets en joue : — Tu...
Publié le 27/05/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Francisco de Quevedo, Les Furies et les Peines, 102 sonnets
Aminta, que se cubrió los ojos con la mano Lo que me quita en fuego, me da en nieve lo mano que tus ojos me recata ; y no es menos rigor con el que mata, ni menos llamas su blancura mueve. La vista frescos los incendios bebe, y, volcán, por la venas los dilata ; con miedo atento a la blancura trata el pecho...
Publié le 13/03/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Jacques ANCET : LONG sur l'ÉTÉ
Jacques ANCET raconte en vingt-quatre poèmes « Vingt-quatre heures, l'été » (Ed.Lettres vives, 2000). Ceux pour qui les vacances sont un moyen de porter attention à ce qui flotte dans l'air de l'été en retrouveront peut-être ici un bon parfum : Vingt-deux heures Dix heures. Les chiens aboient comme si on entendait l'envers brutal...
Publié le 30/08/2009 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
TREIZE à la DOUZAINE
Emmanuel HIRIART chronique pour Poésie Première n°44 un recueil de Jacques ANCET, L'Identité obscure : Treize chants composés de vers à treize syllabes... Mètre où l'alexandrin qui sonne toujours midi devient soluble, se dissout dans le mouvement d'une phrase sans fin, celle, flux d'appositions (comme un poème chinois), des romans de Jacques ANCET. Un...
Publié le 16/07/2009 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
Jacques Ancet à Ambérieu (Ain)
Communiqué de Martin Laquet : Poésie vive « dans la beauté de l'éphémère » Lecture-rencontre avec Jacques Ancet le 28 mars à 19h30 à la Médiathèque La Grenette d’Ambérieu (Ain). Entrée libre. on touche on cherche y a-t-il jamais eu autre chose en suspens comme entre deux et quatre la rue l'été c'était l'enfance le jaune de la maison d'en face on répète les mêmes mots les mêmes...
Publié le 24/03/2008 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
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