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Notes sur le tag : gaëna
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Dernières notes
gourmandise, dose
Elle ose Ignorant les tourments qui l’indisposent dépose au pied du lit grinçant la triste chose offerte par l'amant, fanée, morose au parfum dégradant au duvet sanglotant des regrets désolants à cause du temps Elle ose Malgré le froid mordant qui la sclérose appose à l’entour de son flanc l’étoffe close d’un dessus de lit blanc ceignant le rose de sa peau frémissant...
Publié le 22/03/2008 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
carton pathe
Le carton d’invitation était des plus laconiques. Empreint de circonspection, il tenait de la supplique. « Venez, lisait-on, tout ici requiert votre présence. » Dans son coin, un médaillon de facture vieille France, représentait un bastion qui surplombait la Durance. Au long des Bois de Gahenne, je méditais l’invite, le souffle court et l’haleine d’une âme en fuite. Je...
Publié le 06/03/2008 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
Le poignard et le sein
Le poignard attendait , au mur, dans son étui que tu aies ragrafé ta robe dont les plis enveloppaient ta jambe où frémissait encore un refus de l’assaut qu’avait subi ton corps. Tu n’en avais rien dit, tu t’étais laissée faire mais tu savais, tandis qu’il outrageait ta chair quel enfer s’ouvrirait quand reviendrait son tour à chacun de ses pas résonnant dans la cour....
Publié le 18/02/2008 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
southern red woods
je t'avais suivie, à travers Gahenne jusqu'à sa frange méridionale bordée d'arbres nains aux feuillages sang de puiser le sang au pied meurtri sur la terre où l'ocre jaunit je t'avais suivie, mais je t'ai perdue comme convenu, juste à la lisière un regard encore avant la misère et tu disparus, allure légère sourire...
Publié le 26/01/2008 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
Pagan Poetry
Aux Bois de Gahenne, sous les frondaisons devant la robe pourpre et l'oeil profond venant perdre en ce lieu toute souffrance et, à l'abri des dieux, mener la danse entraînant dans ses pas esprits et bêtes tout ce qui vit là se joint à la fête Le joyeux rigodon parvient au coeur du bois, se met en rond ; une clameur jaillit de l'assemblée....
Publié le 22/11/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
page blanche pour chambre noire
page blanche chambre noire c'était dimanche après la foire après la douche j'ai pris ta bouche et tu es allée au miroir mon coeur épanche dans le boudoir une avalanche d'âpres hasards que la nuit franche la nuit sans fards débite en tranches en à-valoirs sur ton repas du soir ce sein qui penche sous l'accoudoir...
Publié le 20/11/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
Ô décade au château
Trop léger pour sa peine tiniak mains dans le dos cherche aux Bois de Gahenne à se faire un cadeau avise une lanterne à travers les bouleaux qui dominent la plaine où coule lente l'eau la lueur qui l'entraîne vient d'un lointain château L'emprise souveraine le mènera bientôt sur l'allée de vieux chênes que les coquelicots rendent plus...
Publié le 05/11/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
Dans l'ombre de Gahenne
Lasse mon ombre dans ces bois sombre absorbée par la nuit nichée sous les fougères tombée hier Traîne, ma peine dans les Bois de Gahenne lave-toi sur le sol que tes larmes grossissent le flux de ces rigoles et glissent Rejoinds-moi, Gaëna c'est, au coeur de ces bois le meilleur des séjours pour qui veut recouvrer des...
Publié le 01/11/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
L'escale y est
Passant élégamment l'étage et l'autre traversant l'inconscient - dédale existentiel, cet escalier vibrant Gaëna, c'est le vôtre et son emmarchement embrasse un ciel où s'évitent les dieux Dans son voile fluide et sombre votre teint limpide perce de vastes zones d'ombres belle sylphide Je vous ai cru fuyant de marche en...
Publié le 21/10/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
lutte mineure
Dans cette paix tout apparente ondoie la soie d'un cheveu sombre que n'altère pas la pénombre en lutte avec le linge blanc Dans ce lent instant suspendu la vie et la mort se regardent l'une ou l'autre ne prenant garde au réveil d'une âme repue " Je vous ignore " dit une voix ne s'adressant à aucune autre tandis que ce corps nu se vautre dans les lambeaux de son émoi...
Publié le 20/10/2007 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
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