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Notes sur le tag : friedrich

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Dernières notes

Vents de folie !

  L e temps est révolu, c’était la grande époque. Oh certes, ils n’étaient pas nombreux, et n’avaient pas place dans les médias. Mais le nombre n’est pas tout. Il n’est même rien. La notoriété n’est rien quand seule compte la conviction au prix certes d’un trop plein d’assurance, d’une pincée d’intolérance.   Mais qui aurait jeté la pierre à ces gens courageux qui...

Publié le 19/06/2021 dans Michel Pourny par Pourny | Lire la suite...

Caspar David Friedrich dans l'univers romantique(notes d'une ancienne lecture)

p.5: "Il est inséparable du courant romantique si puissant en Allemagne, et l'on peut considérer comme symbolique le fait que les dates 1770-1840, traditionnellement retenues pour situer chronologiquement ce courant correspondent presque exactement à celles de sa vie(1774-1840)." Dans ma bibliothèque Babelio:...

Publié le 16/04/2010 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Les pays se mêlent aux climats

Au large, charrié par les flots de lune à la crête des vagues, l'air un moment encore était en feu. Des matelots chantent en dépliant le soir avec leurs voiles. L'Orient étale ses mystères sur la pierre dure du quai. Leurs yeux sont pleins d'images imprécises. Et leurs souvenirs dans des sacs bien garnis. Le phare, une étoile basse qui tourne. Et les visions lointaines se rapprochent. Les...

Publié le 06/01/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Parution de : ”L'Aube a un goût de cerise”

Mon recueil : "L'Aube a un goût de cerise" paraîtra en mars 2010 aux éditions n & b. Début du texte : Je suis parti et voilà que le monde s’ouvre à mes yeux. Le vent fait claquer les voiles, le jusant doucement nous éloigne. Les cris des marins se répondent. Les os du bateau craquent, son grand corps de sel et de vent s’ébroue. Le navire s’enfonce. Une femme chante un refrain...

Publié le 03/01/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Caspar David Friedrich dans l'univers romantique

p.5 du livre ci-contre: "S'il est à bon droit regardé comme un génie isolé,Caspar David Friedrich ne s'inscrivait pas pour autant-comme à la même époque un Turner( en rupture avec son temps."

Publié le 17/12/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Symbolique dans l’œuvre de Caspar David Friedrich

La Croix au bord de la Baltique , 1815 Le premier degré de la symbolique de Friedrich est une symbolique religieuse. Si l’on considère un tableau comme La Croix au bord de la Baltique, il est aisé de reconnaître des symboles simples comme la Croix et l’Ancre, symboles de la Foi et de l’Espérance chrétiennes, ou la Lune, comme symbole du Christ, ou encore le bateau, symbole...

Publié le 10/12/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Autoportrait, 1815

"Il n'était absolument pas ce que l'on appelle beau, plutôt pâle et maigre, mais chacun de ses muscles signait énergiquement un trait caractéristique qui, en raison de son état d'âme immuable, avait laissé une empreinte définitive. La gravité mélancolique, révélée par les lignes du front, était adoucie par le regard des yeux bleus, ingénu comme celui d'un enfant; sur ses lèvres flottait un...

Publié le 04/12/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Le retable de Tetschen

Description du tableau           Au sommet du rocher se dresse la croix, entourée de sapins toujours verts, et le lierre toujours vert s’enlace autour du fût de la croix. Le soleil se couche, rayonnant, et dans le pourpre du couchant le Sauveur resplendit sur la croix.   Description du cadre...

Publié le 12/11/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

C.D. Friedrich, dessin de G.F. Kersting, 1810

Caspar David Friedrich est né en 1774, à Greifswald, en Poméranie            Sa famille présente quelques similitudes avec celle du poète Novalis, son aîné de deux ans. C’est le même milieu strictement protestant, piétiste. Très tôt, il est confronté à la mort, de sa mère, d’abord, en 1781, puis d’une sœur. Son frère Johann disparaît...

Publié le 09/11/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

”Je dois me donner à ce qui m'entoure, m'unir aux nuages et aux rochers, pour être ce que je...

Friedrich              « Les grands paysages de Friedrich évoquent les méditations du solitaire qu’il fut toujours. Par une fenêtre ouverte, on aperçoit des mâts qui n’arrêtent pas le regard, mais l’invitent à se perdre dans l’Infini d’un ciel nordique, celui de la Baltique à Greifswald, et une femme qui tourne le dos, penchée...

Publié le 08/11/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

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