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Notes sur le tag : friedrich
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Dernières notes
Caspar David Friedrich (German, 1774-1840) — Forest interior by moonlight
Publié le 22/12/2024 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
Vents de folie !
L e temps est révolu, c’était la grande époque. Oh certes, ils n’étaient pas nombreux, et n’avaient pas place dans les médias. Mais le nombre n’est pas tout. Il n’est même rien. La notoriété n’est rien quand seule compte la conviction au prix certes d’un trop plein d’assurance, d’une pincée d’intolérance. Mais qui aurait jeté la pierre à ces gens courageux qui...
Publié le 19/06/2021 dans Michel Pourny par Pourny | Lire la suite...
Les pays se mêlent aux climats
Au large, charrié par les flots de lune à la crête des vagues, l'air un moment encore était en feu. Des matelots chantent en dépliant le soir avec leurs voiles. L'Orient étale ses mystères sur la pierre dure du quai. Leurs yeux sont pleins d'images imprécises. Et leurs souvenirs dans des sacs bien garnis. Le phare, une étoile basse qui tourne. Et les visions lointaines se rapprochent. Les...
Publié le 06/01/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
Parution de : ”L'Aube a un goût de cerise”
Mon recueil : "L'Aube a un goût de cerise" paraîtra en mars 2010 aux éditions n & b. Début du texte : Je suis parti et voilà que le monde s’ouvre à mes yeux. Le vent fait claquer les voiles, le jusant doucement nous éloigne. Les cris des marins se répondent. Les os du bateau craquent, son grand corps de sel et de vent s’ébroue. Le navire s’enfonce. Une femme chante un refrain...
Publié le 03/01/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
Suivant un rythme doux, et paresseux, et lent
"Tu fais l'effet d'un beau vaisseau qui prend le large, Chargé de toile, et va roulant Suivant un rythme doux, et paresseux, et lent." Baudelaire Caspar David Friedrich, Das Segelschiff, ca 1815
Publié le 12/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
La neige
Vent, feu, soleil, font trembler les limites, la neige elle, évapore, dissout, recouvre. Reste une pureté glacée, à croquer le ciel, étoiles blanches immobiles, sucre candi, à figer le mouvement. La neige épouse les contours et les ombres, toute lutte remise à plus tard, dans un silence de feutrine. Raymond Alcovère Friedrich, matin, 1821
Publié le 28/12/2006 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
L'arbre solitaire
Friedrich
Publié le 26/12/2006 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
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