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Notes sur le tag : erich fried
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Dernières notes
Place de la Sorbonne, revue annuelle, n° 2, mars 2012
On ne dit rien de remarquable quand on insiste sur le rôle essentiel des revues, quel que soit leur tirage (souvent modeste) et leur fréquence, pour la diffusion de la poésie : à côté d'auteurs bien connus, qui attirent l'acheteur, bien des auteurs nouveaux trouvent là un support indispensable. Leur diversité reflète la variété du paysage poétique en France,...
Publié le 25/04/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Erich Fried, Es ist was es ist (C'est ce que c'est), traduction C. Tanet, M. Hohmann
Mais peut-être Mes grandes paroles ne me protègeront pas de la mort et mes petites paroles ne me protègeront pas de la mort absolument aucune parole et le silence entre les grandes et les petites paroles ne me protègera pas davantage de la mort Mais peut-être quelques-unes de ces paroles et peut-être en particulier les plus...
Publié le 15/02/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Erich Fried, Es ist was es ist (C'est ce que c'est), traduction C. Tanet, M. Hohmann
Sterbeleben Ich sterbe immerzu und immeroffen Ich sterbe immerfort und immer hier Ich sterbe immer einmal und immer ein Mal Ich sterbe immer wieder Ich sterbe wie ich lebe Ich lebe manchmal hinauf und manchmal hinunter Ich sterbe manchmal hinunter und manchmal hinauf Woran ich...
Publié le 13/06/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Erich Fried, Zukunft? / Avenir ? (traduction Chantal Tanet et Michael Hohmann)
Zukunft? In Hiroshima und Nagasaki schmolz der Straßenstaub stellenweise zu einer glasigen Masse Die Sonne ist die Sonne Der Baum ist ein Baum Der Staub ist Staub Ich bin ich du bist du Die Sonne wird Sonne sein Der Baum wird Asche sein Der Staub wird Glas sein Ich und du werden Staub sein...
Publié le 21/03/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Nuit à Londres, d'Erich Fried
Garder les mains devant le visage et laisser clos les yeux ne voir qu’un paysage montagnes et torrent et dans la prairie deux animaux bruns sur le versant vert clair qui monte jusqu’à la forêt plus...
Publié le 17/02/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
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