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Notes sur le tag : alizou

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Dernières notes

Avide, grand vent

Je me suis pris un vent...! Il me restait en tête En tête et entêtant, soufflant mes amulettes Nul endroit où tenir une pensée légère... Ça volait dans les coins, à ruiner le décor ça, dès potron-minet, brumeux, en fin d'hiver à jurer ses vains dieux sans rien lâcher dehors Ah si, tiens : une, alors, me fait cette amitié d'amarrer son printemps à mon regard perdu Je savoure, à présent, de...

Publié le 28/03/2016 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

L'enchantier

Quoi d'autre ? Je ne sais rien faire sans parti À la prochaine pluie, peut-être... Va savoir... Le ciel peut basculer sans prendre mon avis je m'emploie chaque jour à repriser le soir les veines fatiguées de son vieux rocher gris Car le séjour est loin, et chaque heure qui tombe avale nos destins, voués à la becquée Je m'invite au festin, orgueilleux et plumé ainsi qu'il sied, au vrai, aux...

Publié le 13/09/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

voyage retour

V ous partez chaque fois moins loin qu'il ne m'en coûte mes "vois", mes "dois" - de fait, mes semblables sommeils; et ne me revenez qu'au prix de longues routes sans pluie rafraîchissant le bain d'aucun soleil O ù lisez-vous nos joies, tandis qu'un vent soulève une mèche bouclée, une feuille après l'autre ? Y verrai-je moi-même où se logent vos rêves ? Quand l'air évangélise un parfum,...

Publié le 24/02/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

auguste barnum

Une barque feule à deux voix sur le canal un chant d'amours désespérées, d'un autre siècle Le ciel, déçu, frotte les toits de son couvercle pour se gratter des pelures sentimentales Le cirque bien connu replie son chapiteau pour le porter ailleurs où manque le spectacle des petits bonheurs attendus et leur débâcle qu'applaudiront les rires niais des angelots Le tout payé du triste solde...

Publié le 18/02/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Poucet mort

N'est-ce pas ? N'est-ce pas... Tu l'as mangé, mon cœur poêlé, aller-retour, et aux petits oignons Tu l'auras cuisiné sur une noix de beurre sobrement épicé, entouré de lardons avec, pour agrément, persil, pommes-vapeur et, au dernier moment, une pincée de selles N'est-ce pas ? N'est-ce pas... Tu me l'as arraché tandis que je dormais dans un pli de ton bras le songe appesanti sur ton...

Publié le 25/12/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

compliment circonstanciel

à l'une et l'autre de mes deux Dehors s'est invité avec son cri de mouette des bronzes de clocher dans sa lumière crue Là-bas n'en finit pas de calmer sa tempête Ici a les yeux secs, il ne pleut déjà plus Maintenant se réjouit de conserver son calme (Après saura toujours se laisser désirer !) Hier pèse un long bras sur feuillet de palme il a des précédents en réserve à curer Ici et...

Publié le 25/04/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

le poinçon

Si, le temps d'un pâle sourire le rêve ne sait pas finir qu'il fait bon traîner dans sa cour de s'y remettre à jour le jour   agitant le gravier une question au bout du pied   bousculant la maison à quelques pas de la raison Si l'endroit n'a plus rien à voir avec l'ordre des à-valoir comme le regard enfantin peut se laisser aller enfin   à son bel innocent traversé par...

Publié le 21/04/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

À notre bel organe

Assis, ici les mollets en féline et simple compagnie deux cœurs familiers en approche au ciel des nuées s'effilochent lentement la soirée s'installe à mes lèvres le verre au breuvage familier Le roi Fela nous cloue le Beck insiste, perse, enfonce, honore la femme sans salamalecs grande, Noire et franche de port Fraternelles mélancolies aidez-nous à passer la nuit ouvertes grand nos...

Publié le 26/09/2011 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

la faim du monde

Je les ai bien entendus, moi les vents savants dans leur élan aussi sauvages que l’enfant après ta chevelure grimpant aux arbres raclant les murs faisant vibrer les devantures levant le voile et les vivats des garçons agitant les bras ça rigolait dur sous la douche là où la gouttière fait mouche ouvrant le col comme une baie et nous menait, tu sais...

Publié le 03/10/2008 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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