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A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: ”L'HOMME QUI AVAIT UNE RESIDENCE SECONDAIRE”

  A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE "L'HOMME QUI AVAIT UNE RESIDENCE SECONDAIRE"   À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16   janvier   2012 et le 29   juin   2012 . D'une durée de sept...

Publié le 09/08/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: ”LA FEMME QUI ETAIT PASSIONNEE PAR SON TRAVAIL”

  A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE "LA FEMME QUI ETAIT PASSIONNEE PAR SON TRAVAIL"   À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16   janvier   2012 et le 29   juin   2012 . D'une durée de sept...

Publié le 07/08/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: ”L'HOMME LA FEMME QUI AVAIT UNE FILLE”

  A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE "L'HOMME LA FEMME QUI AVAIT UNE FILLE"   À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16   janvier   2012 et le 29   juin   2012 . D'une durée de sept minutes,...

Publié le 06/08/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

POURQUOI ÉCRIT-ON CE QU'ON NE DIT PAS ?

  POURQUOI ÉCRIT-ON CE QU'ON NE DIT PAS ?   Pourquoi écrit-on ce qu'on ne dit pas ?   Il faut être attentif à toutes les dissonances, A toutes les cassures potentielles. Ce sont elles qui constituent, inépuisables, Les sources du désenchantement Et contribuent à emmêler un peu plus encore L'écheveau tumultueux de ce grand naufrage...

Publié le 26/07/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

Me vouloir...

— Dis Jorge, pourquoi je ne dessinerais pas maintenant ? Jorge, n’a pas pris de vacances. Il hante ses anciens amis. Il partage ses humeurs et sa rage de nouvel abandonné : qu’une femme, n’importe laquelle puisse le quitter ce n’était même pas concevable de son point de vue, mais que celle qu’il avait choisie, le laisse en plan pour partir voir le monde…. — Avant ou après la...

Publié le 24/07/2013 dans La lettre de... par mh, | Lire la suite...

Antoine Emaz, Cambouis

   On écrit sans doute parce qu'on n'a rien d'autre pour tenir droit dans un monde de travers.      Je crois n'avoir jamais connu que des poètes fêlés. Qu'ils soient bons ou mauvais est une autre affaire, mais ce lien entre écriture et fêlure, oui. Et une fêlure d'être, profonde, pas l'égratignure sociale ou l'écorchure de vanité. Pas non plus des êtres...

Publié le 18/05/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Laurine Rousselet, journal de l'attente

l'hiver grandit il touche à la maison des morts entre les froids l'ardeur emporte la résistance   les familiers invoquent les doigts à remuer sous la neige écrire redouble le secret l'incendie troue l'enfance les mitaines assurent au sang de fendre la peur   s'endormir poème le crayon dans tout crie au dehors souffre monde à l'intérieur du lit...

Publié le 01/05/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Nicolas Pesquès, La face nord du Juliau, cinq

Écrire : la même chose sauf l'instant, la même force spontanée moins la surprise plus celle d'une seule fois les mots ensemble   il n'y a pas de sursis dans la prairie, ni en prose pas de jaune sans herbe exacte ni transport   conjointement, la colline se raréfie la couleur durcit sa cruauté adjective   le même iceberg sous les jupes de la...

Publié le 26/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jules Renard, Journal

Éloge funèbre. La moitié de ça lui aurait suffi de son vivant.   On se fait des ennemis. Avait-on des amis ?   Le monde serait heureux s'il était renversé.   Un homme qui aurait absolument nette la vision du néant se tuerait tout de suite.   À considérer les appétits bourgeois, je me sens capable de me passer de tout.   Je ne tiens...

Publié le 15/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

MORGANE

  MORGANE   M anifestement écrire à tout d'un vice car des mots naissent un matériau formidable de mystère d'utilisation malaisée.   O ser s'y confronter est d'évidence déraisonnable mais, cependant, je prends plaisir à le faire avec une légèreté sereine un brin désinvolte.   R ayons d'une incandescence illuminant une vie bien basse...

Publié le 24/03/2013 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

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