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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Le fil de lumière

  Ce n'est rien qu'un murmure ... du fleuve de l'esprit un soupir d'écriture ... mince fil de lumière ... tiré des failles obscures tremblant à la frontière de la coupure ...   Et quand reviendra t-elle, enceinte et triomphante, assoiffée d'aventure et de mots enlacés tissant la transparence ?  Ariaga   Si ce petit poème vous laisse sur votre faim,  vous...

Publié le 19/02/2012 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (67)

"Une fuite, la vie dans les bois? La fuite est le nom que les gens ensablés dans les fondrières de l'habitude donnent à l'élan vital. Un jeu? assurément! Comment appeler autrement un séjour de réclusion volontaire sur un rivage forestier avec une caisse de livres et des raquettes à neige? Une quête? Trop grand mot. Une expérience? Au sens scientifique, oui. La cabane est un laboratoire. Une...

Publié le 19/02/2012 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

DUALISME (Paul GERALDY)

Chérie, explique-moi pourquoi Tu dis "MON piano, MES roses", et : "TES livres, TON chien"... pourquoi Je t'entends déclarer parfois : "c'est avec MON argent à MOI Que je veux acheter ces choses." Ce qui m'appartient t'appartient. Pourquoi ces mots qui nous opposent : le tien, le mien, le mien, le tien ? Si tu m'aimais tout à fait bien, Tu dirais : "LES livres, LE chien" Et : "NOS...

Publié le 18/02/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Quatre heures, la nuit s’étire

  Quatre heures, la nuit s’étire Blanche de sérénité, sans désir Dans le long filament des jours Jusqu’à cet instant, unique L’univers lui-même étale Ses galaxies  qui s’éloignent Et courent dans le vide Elles ne savent où Un vase clos de promesse Dans la vacuité inimaginable Sans tomber, ni faillir Qui conquiert le rien Et l’homme, ridicule De...

Publié le 18/02/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Le style au fou

Dans un cancan fou deux bouquets de roses Ça fait quelque chose arrivé au bout de la scène achevant le vaste opéra de la semaine Au décor fuient des pointillés perspectives millimétrées sur l'ample feuillet dramatique de l'acte ultime et magnifique chapitrant comment tirer sa référence du Vivant Côté jardin court à la ligne un ballet rangé : pas de signes, sottes carpes tourbillonnant pis...

Publié le 17/02/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Elise par trois

(valse seule hante) Quel serait l'art de l'être à Élise au ciel qu'un brin son œil électrise avec la profondeur des forêts sans savoir mettre un coup d'arrêt au geste celui qui soudain pourrait gâter tout le reste ? Foin des nouveautés vertigineuses (l'âme ne peut en naître amoureuse) ! Mais ...la fragilité d'une fleur ? ...l'éphémère vérité de l'heur ? ...ou ce carnage que c'est de tenter...

Publié le 15/02/2012 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Poème du jour...

Le manteau d'Arlequin   Eux dans la bouffée des rampes, nous dans leur pénombre. Eux dans le tréfonds, nous dans la plaie. Ensemble dans l'espace masqué du réel. Dans la nargue de son spectacle. Eux dans leurs métamorphoses, nous dans nos figures de terre. Ensemble dans les creux du monde. Comme échoué au milieu des vies mortes, on sait le lieu trompeur, estomac de velours...

Publié le 15/02/2012 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

La Conférence des oiseaux, de Farid al-Din Attar. Citation

« Quand même les deux mondes seraient tout à coup anéantis, il ne faudrait pas nier l’existence d’un seul grain de sable de la terre. S’il ne restait aucune trace, ni d’hommes, ni de génies, fais attention au secret de la goutte de pluie. »  Farid al-Din Attar, cité par...

Publié le 15/02/2012 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...

Etre à la glace

Solidité trompeuse de cette glace qui, au moindre redoux, fuitera. Dureté fausse. La pierre, elle, demeurera, qui n’est prise dans d’autre rétraction que la sienne. Fidèle à sa matière, pas à l’instant. Porteuse de jours anciens et de morts passés. Illusion de cette glace, qui feint de prendre mais se retirera tantôt. fontaine Bartholdi, Lyon Demeurer de glace , à fixer le monde et...

Publié le 14/02/2012 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

DES STROPHES MIRACULEUSES

Ça fait bien longtemps, et même plus que ça, que les poètes ont cessé d’écrire des strophes. On peut le regretter. Et si on le peut, c’est peut-être qu’on le doit. Mais on ne va pas contre l’histoire, paraît-il. Ils écrivent des poèmes, soit, c’est vrai. Mais ce n’est pas la même chose. D’abord, c’est plus difficile à apprendre par cœur.     On ne le dira jamais assez,...

Publié le 14/02/2012 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

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