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Notes sur le tag : poésie
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Dernières notes
Lueur
Ce matin d'hiver Marche pieds nus (1) ses pieds tressent un rêve violet (2) (alors) quand la ville s'oublie à l'épaule du vent (3) Tu pousses les mots à la lueur de tes doigts (4) (et) je retourne la lumière afin qu'elle sèche de tous les côtés (5) 1 : Guy Goffette 2 : Anne Talvaz 3 : Jean-Pierre Siméon 4 : Lorand Gaspar 5 : Martine Audet
Publié le 16/04/2012 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Haïkus des quatre saisons
Haïkus des quatre saisons illustrés d'estampes d'Hokusaï, ed. Seuil, 2006 La branche en fleur du prunier accorde son parfum à qui l'a brisé Chiyo-Ni Ce livre est un voyage méditatif en terre évanescente. Les haïkus s'ouvrent et battent de l'aile au gré du souffle ; nous sommes tous poètes de la vie à lire ces lignes qui, malgré leur grand âge, n'ont...
Publié le 16/04/2012 dans La petite... par Estrella Oscura | Lire la suite...
SOLEIL QUI PERCE LES NUAGES
Le soleil qui perce les nuages Tombe sur les monts et le paysage Gris et vert se fond comme sur la toile Paysages nouveaux se dévoilent. (sur les photos, paysages d'Auvergne)
Publié le 15/04/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Comment cesser de voir
Comment cesser de voir à travers l’écran des eaux Dans l’arbre effeuillé, l’enfant malhabile, l’oiseau grelottant La forme de tes mains aux caresses apaisantes Comment cesser de voir quand l’âme se dénude Ce qui rend l’air léger et d’autres fois plus lourd Ce qui fait au soleil une robe de deuil Ou à l’horizon une ceinture d’argent Un regard encore et l’enfant...
Publié le 15/04/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
La Porte
… Frappez et l’on vous ouvrira, était-il écrit, et nous avons lu et nous avons cru, et le soir du premier jour nous avions les poings en sang déjà mais nous avons frappé, encore frappé et frappé, notez le mot déjà et le mot encore , et les jours suivants nous ne nous sommes jamais lassés, bientôt nous n’aurons plus de force ni de sang mais nous frapperons toujours, notez les...
Publié le 13/04/2012 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...
Comme
je bois, comme le jus pressé d'une grenade, la fraîcheur étoilée qui se répand des nues (Paul Fort) il y a le sens il faut le chercher Comme on cherche un ressort secret (L.-P. Fargue) Le temps passe et m'emporte à l'abyme inconnu, Comme un grand fleuve noir, où s'engourdit la nage. (P.-J. Toulet) La terre est une grande bouche souillée. (M. Jacob) ...
Publié le 11/04/2012 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Les dimanches poétiques (72)
"- L'orgueil est une tare d'homme qui ne comprend rien. Ce n'est pas digne d'une femme, enfin, d'une femme comme vous. Quand on aime, on peut, on doit se traîner aux pieds de l'autre. Quand on aime on n'a pas le droit de ne pas le crier aux oreilles de l'autre, des fois qu'il ne comprendrait pas... Croyez-vous que l'on trouve de l'amour à chaque coin de rue?" Simonetta GREGGIO La...
Publié le 08/04/2012 dans La plume et... par Do | Lire la suite...
Poème du jour...
Réalité Etouffer d'ennui. Etre sur un bateau qui oscille sur la ligne de l'Equateur. Touver sa place dans l'ennui. Dans les moulures du plafond ? L'idée paraît bonne. Echapper aux conservations tout en bénéficiant d'un point de vue unique. Cependant, l'exercice demande un peu d'entraînement. (Poème de Anne Salem-Marin aux Ed. "Le Dé Bleu" -...
Publié le 08/04/2012 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...
ENTENDS LA DOUCE NUIT
"Ma chère, entends, la douce nuit qui marche" Disait Baudelaire comme démarche Pour rendre à l'instant présent son atmosphère Obscure qui enveloppe la ville en prières Langoureuses ou paisibles ; plein de remords Sont les mortels : voilà planté le décor Et si la douleur vient ici, il lui tend La main et lui montre le soir qui descend. (20.01.11)
Publié le 07/04/2012 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Un vendredi comme les autres ?
Le non être dans sa grotte de pierre Il repose, arraché du bois Il n’est plus rien Face à la puissance du monde L’inconnu existe-t-il ? Une petite poignée croit en lui Ceux qui le côtoyaient Ils sont abasourdis Comment cet homme, La bonté même, L’amour incarné, A-t-il pu mourir comme un voleur ? Nombreux sont ceux qui moururent De la veulerie des hommes...
Publié le 06/04/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
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