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Notes sur le tag : littérature

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Dernières notes

Les dimanches poétiques (81)

"Sans parler, ils restaient assis au bord de l'embarcadère, balançant leurs jambes au-dessus de l'eau. L'immense douceur de cet endroit pénétra Babbitt, et il murmura: "Je voudrais rester ici, toute ma vie, à tailler du bois, assis là. Ne plus jamais entendre une machine à écrire... ou Stan Graff faisant son barouf au téléphone... Ou Rone et Ted se chamaillant. Rester assis là, simplement......

Publié le 16/09/2012 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

L'enracinement de l'exil - 19 -

Paroles - 1- Je me satisfais ici d’une présence uniquement codifiée par le social. Quand on  me salue d’un signe de la main dans la rue, qu’il s’agisse du gars qui m’a vendu la voiture, du boucher, de la caissière du supermarché où j’ai coutume de faire des courses, de la  dame qui tient un stand de fruits et légumes sur le marché, de ma coiffeuse - la pauvre, elle a...

Publié le 15/09/2012 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

Gustave Flaubert et Maxime Du Camp : Nous allions à l’aventure par les champs et par les grèves

Au printemps 1847, Gustave Flaubert et son ami Maxime Du Camp (photographe et écrivain), partent pour deux mois sillonner la France, des bords de Loire à la Normandie en passant par la Bretagne. Ce voyage doit leur permettre d’écrire un ouvrage commun où chacun rédigera son chapitre, Flaubert les impairs et Du Camp les pairs. Le présent ouvrage, extrait de leur livre, ne relate que la...

Publié le 15/09/2012 dans Corboland78 par Le Corbeau 78 | Lire la suite...

A nul autre objet que celui-ci

Cela faisait longtemps qu’il n’en avait pas tenu un entre les mains, ni que son regard n’avait glissé dessus. Il en avait cherché un specimen heureux dans tous les magasins de la ville, avec tout d’abord une avidité de bonne augure, laquelle s’était muée lentement en une sorte de désarroi fatigué, trop long, trop dur, trop nombreux à se ressembler, à lui masquer la pièce unique. Il crut qu’il...

Publié le 14/09/2012 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Richard Millet (II) : Rappel à l'ordre, appel de la horde

  Combien étais-je présomptueux en commençant, il y a quelques jours, le billet précédant celui-ci lorsque je disais que l'affaire Millet ferait clapotis dans l'eau et guère plus. Le jeu en valait en fait la chandelle et la Littérature française a cru bon devoir mettre de l'ordre dans son territoire. Et comme dirait une mienne connaissance, elle a envoyé du lourd. La Littérature...

Publié le 14/09/2012 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

crimes sur la cote belge

Les vacances d'un serial killer   Nadine Monfils   Pocket n°14972     Sur la cote belge, il pleut souvent. "Tu peux te balader sans risquer une insolation". Cet été là il pleut des cadavres. Mais pas de policiers à l'horizon.   Les vacances de cette famille tranquille tournent au cauchemar. Le "serial killer" n'est pas...

Publié le 14/09/2012 dans BLOGJFV par jfv | Lire la suite...

L'enracinement de l'exil - 18 -

Courage, fuyons ! Certes, la raison première pour laquelle j’ai "choisi" de vivre en Pologne, je la connais fort bien. J'ai cependant toujours été persuadé du fait que la rencontre amoureuse est avant tout l’œuvre capricieuse de l’énergie des contraires qui se télescopent : on rencontre tout à fait par hasard ce que l’on voulait provoquer. Fuir. Telle était l’idée sous-jacente de...

Publié le 14/09/2012 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

Richard Millet (I) : exister, que diable !

  La provocation littéraire et, croit-on, intellectuelle, prend le plus souvent, désormais, la forme du clapotis germanopratin dont la trace n'excède guère la semaine. L'information (ou plutôt son flot) ne supporte pas l'arrêt. Tel est bien le traitement auquel aura été soumis le dernier épisode de la guerre (factice) dans la République des Lettres française. Je veux ici parler du...

Publié le 14/09/2012 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Chiennement vôtre - Une lecture du roman de Stéphanie Hochet, Les Ephémérides

  Cette critique est désormais disponible, avec bien d'autres (Amette, Millet, Marin de Viry) sur LE SALON LITTERAIRE , l'excellent nouveau site de Joseph Vebret et Loïc Di Stephano, avec possibilités de forums, communautés, rencontres et militantisme hochetiens.     « … on l’écoutait avec effroi. »   Depuis Ann Radcliffe, l’on sait que les...

Publié le 14/09/2012 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

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