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Notes sur le tag : les phares

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”LES SALTIMBANQUES DE L’AMOUR HEUREUX.”

  Ma douce Amie, Ma Muse   Ma chanson, Notre chanson, Parle de nos beaux jours, De ces jours heureux, Ceux de nos tendres baisers, Qui même de loin nous poursuivent © Photo ci-dessus : http://www.artistic-nude-images.com   Nous sommes une consolation l’un pour l’autre, La ligne...

Publié le 19/03/2014 dans LTC - LA... par LTC - LA TOUR CAMOUFLE : ”LA LORRAINE AU COEUR DU MONDE !” | Lire la suite...

”LES PHARES” (in ”Les Fleurs du Mal”, 1857) DE CHARLES BAUDELAIRE, SOURCE D'INSPIRATION POéTIQUE...

Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre Des...

Publié le 19/02/2014 dans LTC - LA... par LTC - LA TOUR CAMOUFLE : ”LA LORRAINE AU COEUR DU MONDE !” | Lire la suite...

”Ainsi fond, fond, fond, la petite marionnette” ( Baudelaire - 4ème jour)

Alors qu'il s'engageait sur une grande avenue, passait devant la pharmacie, une voix, provenant sûrement des petits hauts-parleurs installés aux quatre coins des rues, se fit entendre : "La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine."* Etrange, on aurait...

Publié le 21/03/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

”LES PHARES” DE BAUDELAIRE

                   "LES PHARES Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un...

Publié le 12/10/2012 dans l'écrivain... par Christian Jougla | Lire la suite...

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