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Notes sur le tag : henri chevignard

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Dernières notes

Le POÈME DÉPHASÉ sur TWITTER

    Du nouveau sur le réseau zozio : @LePoemeDephase ne gazouille plus (les archives chantent encore !). Mais Le Poème Déphasé poursuit son vol chez @HenriChevignard sous la rubrique #LePoèmeDéphasé, avec un gazouillis tôt le matin. Comme par exemple ici :    

Publié le 10/04/2023 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

REVUE VERSO

L'argent Entre pralines et manèges, la foule piétine serpentine comme s'insinue la monnaie qui, de la poche de papa vers la pogne du moustachu, glisse sur les plumes de canards en plastique et revient en forme de bolide, pour prix d’une trop rapide pêche puis repart et ricoche, mitraille perçant la baudruche, tamponne sous les peluches des inconnus, fond entre les néons et sous la...

Publié le 03/06/2014 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Une FRAMBOISE VENUE du NORD

  Goûtant la framboise on se dit c'est la dernière, on va prendre la tangente, mais la main est captive du panier. Insatiable main désirant la chair, insatiable bouche te convoitant, toi ma chair.

Publié le 12/11/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

MACHINERIE des PROFONDEURS

Des cordes pour hisser les sons les attacher aux choses Des vibrations pour émouvoir séduire posséder Machinerie des profondeurs la voix perce les obstacles glotte ou palais incisives ou lèvres nécessaires aux consonnes   Souffle immobile et muscles déliés toujours s'élèvera le sourire sans dents du bouddha même de pierre  

Publié le 18/06/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

PRENDRE les AGNEAUX pour des LANTERNES

La viande en toupie d'agneau en tournant grille et goutte Le torse du patron qui guette le client le regard circulaire hors de sa stalle prend tournure chevaline

Publié le 22/02/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

INCERTAIN REGARD n°6

La kora du pays mandingue miroitements éparpillés égrène des prénoms d'ancêtres tirés d'un puits secret inventorie récoltes fiançailles couronnements ou nécessaires crimes et les graines tournoient s'accélérant planètes sans conscience entre des doigts cornés ...   La revue est à télécharger ici .  

Publié le 14/12/2012 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Le BLUES de la GARE

Blues de la gare   Soucieux de tenir les promesses du voyage aux entrepots le long de la voie de garage les carreaux se sont brisés en étoiles   Henri CHEVIGNARD , in les Cahiers de la rue Ventura n° 16.   Merci à Claude CAILLEAU et son équipe pour leur excellent accueil dans leur revue !

Publié le 14/09/2012 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

CONGÉS d'ÉTÉ

Été   Saison brûlée saison du participe passé qui nourrit sa mélancolie de son nom Temps du sable en repos du calendrier retourné au mur jauni de la cuisine avec déjà Noël pour horizon

Publié le 14/08/2012 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Aux VITRES du TRAIN

Un crachin aux vitres du train vêt d'un buvard le paysage le capte hasardeux polaroid d'où les couleurs échappent avant un assoupissement d'entre les tournesols voûtés sur un hiver intérieur   Aux sursauts de cinéma burlesque l'on retrouve bonne saison le temps qu'à nouveau se fige en instants insouhaités et de limites floues l'étrangère campagne...

Publié le 10/08/2012 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

PRINTEMPS !

Tu ris à pleins poumons, comme avril délivre tous ses pollens. Tu ris à gorge déployée, luette frémissante aux vents minces du matin. Tu ris de toutes tes dents, et fusent en perles blanches cerisiers et seringats d'un scintillement pareil. Du printemps tu sais tout, toi qui n'en comptes que cinq. Extrait d'un recueil de 2010 (les intimes auront fait le calcul) à paraître......

Publié le 20/03/2012 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

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