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Notes sur le tag : stavroguine

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Dernières notes

« POSSÉDÉS » ou « DÉMONS » ?

1/2   J’ai toujours entretenu une relation ambivalente avec Fédor Dostoïevski, échaudé vers l'âge de quatorze ans par des tentatives infructueuses dans L'Eternel mari et Le Joueur . Il a fallu du temps : rien de tel que l'étude de Cinna en classe de cinquième pour vous dégoûter durablement de Corneille. Et puis un jour, j’ai eu la chance de découvrir  Les Frères Karamazov...

Publié le 26/05/2015 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Raskolnikov

   Dostoïevski, dans ses grands romans, n'a eu de cesse de reprendre un même personnage, pour en peindre les diverses formes. Stavroguine dans Les Démons (1871), le prince Mychkine dans L'Idiot (1868), sont par exemple les deux faces complémentaires d'un seul caractère historique bien déterminé : l'homme du XIXe, pris au piège du monde moderne, problématique que Nietzsche a...

Publié le 22/11/2014 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Démons, snobs et connards, ou MA CONVERSION GIRARDIENNE

(Ecrit un 14 octobre 2007, je remets en ligne ce texte capital - pour moi - dont un lecteur attentif m'a signalé qu'il constituait une sorte de conversion de ma  personne à la critique girardienne, une "déromantisation", sinon une "dératisation", de ma perception des choses et des relations humaines. Il est vrai que le moment où l'on prend conscience de son propre...

Publié le 16/04/2009 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

Rire et horreur chez Dostoïevski

  Le choc que c’est de découvrir Les démons ou L’idiot à vingt ans ! On se dit qu’on ne lira plus rien d’aussi grand. Qu’excepté Shakespeare ou Dante, la littérature s’arrête à la dernière phrase des Frères Karamazov ! Que tout le reste n’est que post-scriptum, paraphrase, mauvaise copie – Bernanos en premier lieu, le « Dostoïevski » français, tu parles !...

Publié le 16/10/2007 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

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