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Notes sur le tag : philippe sollers

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Dernières notes

Un miracle ? D’accord, mais pas trop.

Lazare, ressuscité aujourd’hui, ferait bien trois semaines de magazines et de télé, serait décoré de la Légion d’honneur, après quoi on lui demanderait de rentrer tranquillement dans sa tombe. Un miracle ? D’accord, mais pas trop. Lire ici le Journal du mois de Philippe Sollers, juillet 2008 dans le JDD Lire ici aussi : Un essai de Sandrick Le Maguer : Où il est...

Publié le 04/08/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Contre Sainte-Beuve

Le mérite d'un grand critique littéraire comme Philippe Sollers est de nous signaler le caractère anecdotique de la littérature de Robbe-Grillet quand tout le monde s'en tamponne depuis longtemps déjà. Au risque de choquer Guillaume Durand, animateur hypersensible.  

Publié le 09/07/2008 dans Lapinos par Xavier JASSU | Lire la suite...

Sur la question du corps

Une saison en enfer se termine par la phrase suivante : « Et il me sera loisible de posséder la vérité dans une âme et un corps. » Qu’est-ce que ça veut dire : posséder la vérité dans une âme et un corps ? « Loisible », quel mot ! Et puis « posséder » ? Ah, posséder la vérité ! Comment ne pas se faire posséder ? C’est...

Publié le 28/06/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Vers le dix juin

Comme toujours, ici, vers le dix juin, la cause est entendue, le ciel tourne, l’horizon a sa brume permanente et chaude, on entre dans le vrai théâtre des soirs. Il y a des orages, mais ils sont retenus, comprimés, cernés par la force. On marche et on dort autrement, les yeux sont d’autres yeux, la respiration s’enfonce, les bruits trouvent leur profondeur nette. Cette petite planète, par...

Publié le 09/06/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Là-haut

"Un jour, à Paris, Casanova est à l’Opéra, dans une loge voisine de celle de Mme de Pompadour. La bonne société s’amuse de son français approximatif, par exemple qu’il dise ne pas avoir froid chez lui parce que ses fenêtres sont bien " calfoutrées ". Il intrigue, on lui demande d’où il vient : " de Venise ". Madame de Pompadour : " De Venise ? Vous venez vraiment de...

Publié le 03/06/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

L’Adversaire

« Car l’Adversaire est inquiet. Ses réseaux de renseignement sont mauvais, sa police débordée, ses agents corrompus, ses amis peu sûrs, ses espions souvent retournés, ses femmes infidèles, sa toute-puissance ébranlée par la première guérilla venue. Il dépense des sommes considérables en contrôle, parle sans cesse en termes de calendrier ou d’images, achète tout, investit tout, vend...

Publié le 24/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

A propos de la pornographie ambiante

"L'exhibition est inhibition" Philippe Sollers, Un vrai roman

Publié le 18/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Carnet de nuit, suite...

Ce n'est pas le temps qui fuit, mais une présence éveillée dans le temps Nabokov: "Dans une oeuvre d'imagination de premier ordre le conflit n'est pas entre les personnages, mais entre l'auteur et le lecteur." Philippe Sollers, Folio, 4,20 €

Publié le 14/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

En feuilletant le Carnet de nuit de Philippe Sollers

Si tout le monde ne prenait plus rien, rigoureusement , au sérieux, le Messie serait là dans l'heure qui suit.   Nietzsche : Les clowns et les danseurs de corde sont les seuls acteurs dont le talent est incontesté et absolu   Quand deux individus se désirent vraiment, le démon souffre.   © Edward Steichen, Towards the Light - Midnight, 1908,...

Publié le 14/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

La chance, large et lent escalier

« À 10 ans, au fond du jardin, je suis ébloui par le simple fait d’être là (et pas d’être moi), dans le limité-illimité de l’espace. À 20 ans, grande tentation de suicide ; il est moins deux mais la rencontre avec Dominique (Rolin) me sauve. À 30 ans, rechute et vif désir d’en finir, mais la rencontre avec Julia (Kristeva) me sauve. À 40 ans, l’abîme : ennuis de santé de mon fils, Paradis...

Publié le 10/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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