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Notes sur le tag : nicolas bouvier
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[Critique de Livre] - Nicolas Bouvier - L'usage du Monde
Hit the road, Nicolas Un récit de voyage à faire pâlir Kerouac ? En 1963 paraissait « L'usage du monde », de Nicolas Bouvier, récit d'un voyage réalisé en 1953 et 1954 entre la Yougoslavie et l'Afghanistan avec le peintre Thierry Vernet, un ami. Doté d'une écriture ciselée et poétique où les mots s'accordent de manière surprenante, Nicolas Bouvier contait dans son...
Publié le 28/02/2012 dans Ma Pause Café par MaPausecafé | Lire la suite...
DEROUTE (2)
"Comme une eau, le monde vous traverse et pour un temps vous prête ses couleurs. Puis se retire, et vous replace devant ce vide qu'on porte en soi, devant cette espèce d'insuffisance centrale de l'âme qu'il faut bien apprendre à cotoyer, à combattre, et qui, paradoxalement, est peut-être notre moteur le plus sûr." L'usage du monde, Nicolas Bouvier Il a donc fallu quitter le GR pour de...
Publié le 08/11/2011 dans LES ÎLES INDIGO par la bacchante | Lire la suite...
ROUTE... (1)
Cela s'appelle sans doute l'arrière-saison et la plante de pied ne désire qu'une chose: rejoindre la semelle et aller de l'avant. Des Rochers du Parc au Pain de Sucre en passant par la Roche d'Oëtre...Trois jours de randonnée en Suisse normande. Accepter de déchausser à la tombée de l'heure d'hiver, toujours trop tôt, on voudrait pousser plus loin, au-delà de l'obscurité. Tromper...
Publié le 01/11/2011 dans LES ÎLES INDIGO par la bacchante | Lire la suite...
Se barrer
L’essentiel était de partir. NICOLAS BOUVIER : "L'usage du monde", éditions Droz, 1963 Photos : Nous autres, devant le grand panneau des départs, gare de la Part Dieu, Lyon, ce Juillet. © Frb 2011.
Publié le 26/07/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
EN DROIT
Fresque, Paestum Hier soir, je n'ai pas voulu, pour rentrer, la route qui allait droit devant, de celles qui traversent le paysage sans questionnement. J'ai pris la mal-entretenue, à droite sous le pont, de celles qu'on monte obligatoirement en première. Là-haut, quand le coeur ne sait plus être régulier, je retrouve l'ondulation des champs et l'insouciance des chevaux. Ai...
Publié le 31/05/2011 dans LES ÎLES INDIGO par la bacchante | Lire la suite...
Meti-SAGE
« Comme une eau, le monde vous traverse et pour un temps vous prête ses couleurs. Puis se retire, et vous replace devant ce vide qu'on porte en soi, devant cette espèce d'insuffisance centrale de l'âme qu'il faut bien apprendre à côtoyer, à combattre, et qui, paradoxalement est peut-être notre moteur » Nicolas Bouvier
Publié le 04/01/2010 dans Salmigondis par Salmigondis | Lire la suite...
Une île
"Une île est comme un doigt posé sur une bouche invisible et l'on sait depuis Ulysse que le temps n'y passe pas comme ailleurs" Nicolas Bouvier Photo : Madagascar, 2007
Publié le 09/12/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
Bloc-note express N°96
La possibilité d'une île... L'impossibilité d'une île... Débat Houellebecquien... Je n'aime pas Houellebecq . Je n'aime pas les proclamés "plus grand écrivain français"... Mais revenons à nos îles. Quelques jours d'isolement insulaire. Soleil, rochers et mer. L'île est un espace clos. L'île est peu connectée. Un comble pour le geek qui se découvre une forme de bizarrerie d'existence sans...
Publié le 24/08/2009 dans LE VOLUME... par dubuc | Lire la suite...
Nicolas BOUVIER : l'USAGE de la LANGUE (rediffusion de l'été)
Nicolas Bouvier a bâti sa vie littéraire sur l'écume d'un ancien voyage. Son écriture alliait la précision et l'humilité de l'entomologiste. Et en l'écoutant, on était saisi par cette rigueur, qu'il manifestait également à l'oral. Amplifiée encore à la fin de sa vie, par la fixité de son regard. Il semble que ce genre de perfection - qui n'est pas l'apanage des écrivains -...
Publié le 02/08/2009 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
J'ai tout mon temps
La rivière se love et sinue à fleur des prés couverts de gelée blanche. Elle est bordée de saules et de moutons couchés qui font deviner son cours imprévisible comme il doit l'être: un méandre de plus est ce qu'une rivière peut faire de mieux; c'est d'ailleurs ce qu'on en attend. La route, elle aussi, étroite, bleue, brillante de glace, tourne sans rime ni raison là où elle pourrait filer...
Publié le 11/05/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
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